San Pedro – Environ une centaine de jeunes du département de San Pedro achèvent, vendredi, la première phase d’une session de formation de 20 jours à l’auto-emploi et à l’emploi salarié, dans le cadre du projet gouvernemental THIMO (Travaux à haute intensité de main d’œuvre) destiné à l’emploi jeune.
Cette formation a été dispensée par un cabinet copté par l’Agence nationale de gestion des routes (Ageroute). Ces 100 jeunes, bientôt au terme d’un contrat de six mois avec l’Ageroute pour l’entretien des voies routières de la commune de San Pedro, ont appris, pendant leur formation, à créer, pour certains (50), leurs petites affaires et à acquérir les techniques de gestion, et pour d’autres (50),la rédaction d’un curriculum vitae ainsi que la recherche d’un emploi salarié.
Selon le superviseur du cabinet de formation D.Mauya, Adou Evariste, cette première phase de la formation, théorique pour l’essentiel, sera suivie dans 10 jours d’une phase pratique, le temps de permettre aux apprenants de réaliser des exercices pratiques à présenter à la prochaine séance de 10 jours au mois de février.
« A la fin de la formation, je veux être un fermier, élever des moutons, des cabris et des canards, car j’ai déjà deux cabris et deux canards, mais pas encore de moutons », a déclaré un participant, Diomandé Idrissa.
Quant à Konan Aya Chantal, également du niveau de la classe de troisième, elle souhaite avoir un emploi salarié dans une officine de pharmacie en tant qu’auxiliaire. Un emploi pour lequel elle suit une formation spécifique.
Après la première vague de 100 jeunes des sept brigades de salubrité de la commune de San Pedro, une seconde vague de 100 autres jeunes va également recevoir cette formation, a-t-on appris.
Il n’est pas prévu d’appui financier pour l’installation des jeunes créateurs d’entreprise. Toutefois, le contrat de travail avec l’Ageroute devrait leur permettre de constituer un petit fonds pour démarrer leur affaire, a expliqué le superviseur Adou Evariste.
Au total, 16 communes de Côte d’Ivoire, dont quatre d’Abidjan, sont bénéficiaires du projet THIMO lancé le 10 novembre 2011 par le Président Ouattara, dans la commune d’Attécoubé.
Initié au lendemain de la crise postélectorale, le projet THIMO vise la réinsertion de 3000 ex-combattants et jeunes ivoiriens. Il est financé par la Banque mondiale.
Cette formation a été dispensée par un cabinet copté par l’Agence nationale de gestion des routes (Ageroute). Ces 100 jeunes, bientôt au terme d’un contrat de six mois avec l’Ageroute pour l’entretien des voies routières de la commune de San Pedro, ont appris, pendant leur formation, à créer, pour certains (50), leurs petites affaires et à acquérir les techniques de gestion, et pour d’autres (50),la rédaction d’un curriculum vitae ainsi que la recherche d’un emploi salarié.
Selon le superviseur du cabinet de formation D.Mauya, Adou Evariste, cette première phase de la formation, théorique pour l’essentiel, sera suivie dans 10 jours d’une phase pratique, le temps de permettre aux apprenants de réaliser des exercices pratiques à présenter à la prochaine séance de 10 jours au mois de février.
« A la fin de la formation, je veux être un fermier, élever des moutons, des cabris et des canards, car j’ai déjà deux cabris et deux canards, mais pas encore de moutons », a déclaré un participant, Diomandé Idrissa.
Quant à Konan Aya Chantal, également du niveau de la classe de troisième, elle souhaite avoir un emploi salarié dans une officine de pharmacie en tant qu’auxiliaire. Un emploi pour lequel elle suit une formation spécifique.
Après la première vague de 100 jeunes des sept brigades de salubrité de la commune de San Pedro, une seconde vague de 100 autres jeunes va également recevoir cette formation, a-t-on appris.
Il n’est pas prévu d’appui financier pour l’installation des jeunes créateurs d’entreprise. Toutefois, le contrat de travail avec l’Ageroute devrait leur permettre de constituer un petit fonds pour démarrer leur affaire, a expliqué le superviseur Adou Evariste.
Au total, 16 communes de Côte d’Ivoire, dont quatre d’Abidjan, sont bénéficiaires du projet THIMO lancé le 10 novembre 2011 par le Président Ouattara, dans la commune d’Attécoubé.
Initié au lendemain de la crise postélectorale, le projet THIMO vise la réinsertion de 3000 ex-combattants et jeunes ivoiriens. Il est financé par la Banque mondiale.
