Abidjan - Le dernier rapport établi par « Think Security Africa » (TSA, Envisagez des mesures de sécurité en Afrique) sur les conflits, recommande de « porter une plus grande attention à la prévention » dans le cadre de mesures visant à enrayer leur progression et à améliorer la sécurité sur le continent.
La sécurité en Afrique 2013 et les initiatives pour la paix, font l’objet de préoccupations quant à la montée brutale des conflits civils et l'augmentation consécutive des transferts inconstitutionnels du pouvoir prévus et effectifs. Ces incidents ont doublé entre 2011 et 2013, relève ce rapport, dont copie est parvenue à l’AIP.
Fondé sur des évaluations de l'évolution de la situation en matière de sécurité entre 2011 et 2013, le rapport s'appuie sur des cartes, des graphiques et d'autres supports visuels pour proposer une approche nuancée de la sécurité sur la scène africaine contemporaine.
« Si l'on veut renforcer la sécurité en Afrique, nous devons d'abord mieux la comprendre. Ce rapport a pour but de rendre plus tangibles les questions souvent confuses et comportant un caractère fortement émotionnel », préconise Adunola Abiola, fondatrice de Think Security Africa.
Poursuivant, elle affirme dans ce document, « ce sont des problèmes quotidiens qui entraînent les conflits les plus importants en Afrique (….). On ne peut pas laisser la situation qui prévaut actuellement en République centrafricaine se reproduire dans d'autres régions ».
Le rapport établit en outre un lien entre la tendance à la hausse d'un coup d’État prévu et réel et la guerre civile en Afrique. Le rapport explore également le lien existant entre l'insécurité transfrontalière et les conflits d'intensités différentes.
L'une des conclusions les plus pertinentes du rapport en matière de stratégie politique a révélé que la forme de violence la plus grave se produit le plus souvent lorsque les États sont confrontés à des difficultés en lien avec les trois aspects suivants en même temps : la chaîne de commandement nationale, la gestion de la société, et la préservation de l'intégrité territoriale.
La sécurité en Afrique 2013 et les initiatives pour la paix, font l’objet de préoccupations quant à la montée brutale des conflits civils et l'augmentation consécutive des transferts inconstitutionnels du pouvoir prévus et effectifs. Ces incidents ont doublé entre 2011 et 2013, relève ce rapport, dont copie est parvenue à l’AIP.
Fondé sur des évaluations de l'évolution de la situation en matière de sécurité entre 2011 et 2013, le rapport s'appuie sur des cartes, des graphiques et d'autres supports visuels pour proposer une approche nuancée de la sécurité sur la scène africaine contemporaine.
« Si l'on veut renforcer la sécurité en Afrique, nous devons d'abord mieux la comprendre. Ce rapport a pour but de rendre plus tangibles les questions souvent confuses et comportant un caractère fortement émotionnel », préconise Adunola Abiola, fondatrice de Think Security Africa.
Poursuivant, elle affirme dans ce document, « ce sont des problèmes quotidiens qui entraînent les conflits les plus importants en Afrique (….). On ne peut pas laisser la situation qui prévaut actuellement en République centrafricaine se reproduire dans d'autres régions ».
Le rapport établit en outre un lien entre la tendance à la hausse d'un coup d’État prévu et réel et la guerre civile en Afrique. Le rapport explore également le lien existant entre l'insécurité transfrontalière et les conflits d'intensités différentes.
L'une des conclusions les plus pertinentes du rapport en matière de stratégie politique a révélé que la forme de violence la plus grave se produit le plus souvent lorsque les États sont confrontés à des difficultés en lien avec les trois aspects suivants en même temps : la chaîne de commandement nationale, la gestion de la société, et la préservation de l'intégrité territoriale.