Abengourou - Plus de 200 leaders d’opinion d’Adaou (Abengourou, environ 210 km, à l’Est d’Abidjan) se sont engagés, mercredi, à consolider la cohésion sociale, au terme d'une rencontre intercommunautaire organisée par l'Onuci, l'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire.
Ils souhaiteraient la promotion du respect des droits de l’Homme, plus particulièrement ceux des enfants, la libre circulation des biens et des personnes, la mise en place d’une plate-forme pour la formation des leaders communautaires et des citoyens à ne pas se haïr et à ne pas se marginaliser, l’instauration du dialogue entre les autorités et les populations.
Cette rencontre qui avait pour thème "Dialogue intercommunautaire pour une meilleure cohésion sociale", a réuni des représentants des différentes communautés coutumières, ethniques et religieuses, ldes associations de femmes et de jeunes ainsi que les autorités administratives et sécuritaires de la localité.
"Les différentes crises que la Côte d’Ivoire a connues, surtout la crise postélectorale, ont affaibli la cohésion sociale entre les communautés et même entre les familles (…), en promouvant le dialogue entre les acteurs clés de cette localité. L’ONUCI espère soutenir les autorités locales ainsi que les populations à résoudre pacifiquement les causes les plus profondes des tensions afin de consolider la confiance, la cohésion sociale et l’entente qui régnaient avant la crise postélectorale", a indiqué le coordonnateur du bureau de l’ONUCI à Abengourou, Zina Luc.
Pour le 5ème adjoint au maire d’Abengourou, Sanogo Mamadou, cette rencontre intercommunautaire va permettre de trouver effectivement des solutions politiques idoines à la situation conflictuelle dans laquelle la nation ivoirienne baigne depuis quelques années.
Au nom du préfet de région, préfet du département d’Abengourou, le premier secrétaire général de la préfecture, Gohou Anatole, a exhorté les populations à privilégier la voie du dialogue pour une paix durable et à mettre en pratique les résultats de cette rencontre.
"Oui, il est important dans ce pays que nous nous parlions. Oui, il est important que nous conjuguions nos efforts pour éviter les crises. Penser et dire cohésion sociale est déjà très bien. La mettre en pratique concrètement est encore mieux", a-t-il déclaré.
Ils souhaiteraient la promotion du respect des droits de l’Homme, plus particulièrement ceux des enfants, la libre circulation des biens et des personnes, la mise en place d’une plate-forme pour la formation des leaders communautaires et des citoyens à ne pas se haïr et à ne pas se marginaliser, l’instauration du dialogue entre les autorités et les populations.
Cette rencontre qui avait pour thème "Dialogue intercommunautaire pour une meilleure cohésion sociale", a réuni des représentants des différentes communautés coutumières, ethniques et religieuses, ldes associations de femmes et de jeunes ainsi que les autorités administratives et sécuritaires de la localité.
"Les différentes crises que la Côte d’Ivoire a connues, surtout la crise postélectorale, ont affaibli la cohésion sociale entre les communautés et même entre les familles (…), en promouvant le dialogue entre les acteurs clés de cette localité. L’ONUCI espère soutenir les autorités locales ainsi que les populations à résoudre pacifiquement les causes les plus profondes des tensions afin de consolider la confiance, la cohésion sociale et l’entente qui régnaient avant la crise postélectorale", a indiqué le coordonnateur du bureau de l’ONUCI à Abengourou, Zina Luc.
Pour le 5ème adjoint au maire d’Abengourou, Sanogo Mamadou, cette rencontre intercommunautaire va permettre de trouver effectivement des solutions politiques idoines à la situation conflictuelle dans laquelle la nation ivoirienne baigne depuis quelques années.
Au nom du préfet de région, préfet du département d’Abengourou, le premier secrétaire général de la préfecture, Gohou Anatole, a exhorté les populations à privilégier la voie du dialogue pour une paix durable et à mettre en pratique les résultats de cette rencontre.
"Oui, il est important dans ce pays que nous nous parlions. Oui, il est important que nous conjuguions nos efforts pour éviter les crises. Penser et dire cohésion sociale est déjà très bien. La mettre en pratique concrètement est encore mieux", a-t-il déclaré.
