Sit-in de ses partisans devant la Fédération ivoirienne de football, formation d’un conseil d’administration et d’un bureau exécutif, convocation des membres du bureau exécutif de l’Africa sports d’Abidjan qui doivent répondre aujourd’hui d’on ne sait quel délit devant la Brigade de recherches de la Gendarmerie nationale, qu’est- ce qui fait tant courir Koné Cheick Oumar, ex-PCA du club Vert et Rouge ?
Dans quel intérêt s’échine-t-il tant à saborder le calme revenu à l’Africa depuis la fin de l’administration provisoire dirigée par Me Cheickna Sylla, thérapie imposée par la FIF pour guérir le grand aigle malade de ses dissensions?
A la vérité, Koné Cheick Oumar qui a bénéficié de plusieurs décisions de tribunaux civils ne digère pas la situation qui prévaut actuellement à l’Africa sports d’Abidjan et qui fait de Vagba Alexis, le seul et unique représentant légal et légitime du club.
L’affaire est pourtant simple : seuls ne doivent connaître des litiges sportifs que les juridictions sportives prévues à cet effet. C’est une prescription impersonnelle et générale. S’y soustraire, c’est faire entorse à la règle en vigueur dont les garants du strict respect sont les fédérations nationales, la CAF, la FIFA et le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Parce qu’il a agi en violation de la norme internationale qui ordonne qu’il ne soit recouru qu’aux tribunaux sportifs pour des litiges sportifs, Koné Cheick Oumar ne peut faire prospérer ses arguments.
Il dispose, dit-on, d’une équipe de football dont les athlètes seraient prêts à mouiller le maillot. Quelle instance l’enregistrera-t-elle comme entité pouvant prendre part aux compétitions nationales ? Où va-t-elle jouer ses matches ? Contre qui ? Qui va valider les résultats de ses productions ?
L’entêtement de Koné Cheick Oumar fonde à croire qu’il n’agit pas pour son seul compte. Qui tire alors les ficelles de ce désordre organisé ?
Qui trop embrasse, mal étreint. L’ex- PCA des Aiglons qui est allé trop loin dans cette affaire devrait le comprendre et se résoudre enfin à laisser l’Africa sports d’Abidjan bénéficier de l’actuelle accalmie pour se reconstruire.
Roger Okou Vabé
Dans quel intérêt s’échine-t-il tant à saborder le calme revenu à l’Africa depuis la fin de l’administration provisoire dirigée par Me Cheickna Sylla, thérapie imposée par la FIF pour guérir le grand aigle malade de ses dissensions?
A la vérité, Koné Cheick Oumar qui a bénéficié de plusieurs décisions de tribunaux civils ne digère pas la situation qui prévaut actuellement à l’Africa sports d’Abidjan et qui fait de Vagba Alexis, le seul et unique représentant légal et légitime du club.
L’affaire est pourtant simple : seuls ne doivent connaître des litiges sportifs que les juridictions sportives prévues à cet effet. C’est une prescription impersonnelle et générale. S’y soustraire, c’est faire entorse à la règle en vigueur dont les garants du strict respect sont les fédérations nationales, la CAF, la FIFA et le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Parce qu’il a agi en violation de la norme internationale qui ordonne qu’il ne soit recouru qu’aux tribunaux sportifs pour des litiges sportifs, Koné Cheick Oumar ne peut faire prospérer ses arguments.
Il dispose, dit-on, d’une équipe de football dont les athlètes seraient prêts à mouiller le maillot. Quelle instance l’enregistrera-t-elle comme entité pouvant prendre part aux compétitions nationales ? Où va-t-elle jouer ses matches ? Contre qui ? Qui va valider les résultats de ses productions ?
L’entêtement de Koné Cheick Oumar fonde à croire qu’il n’agit pas pour son seul compte. Qui tire alors les ficelles de ce désordre organisé ?
Qui trop embrasse, mal étreint. L’ex- PCA des Aiglons qui est allé trop loin dans cette affaire devrait le comprendre et se résoudre enfin à laisser l’Africa sports d’Abidjan bénéficier de l’actuelle accalmie pour se reconstruire.
Roger Okou Vabé