Bouaflé – Le coordonnateur du Programme pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire (Projustice), de Bouaflé, Koné Apalo Jean Marie a été officiellement installé jeudi, en présence des autoritaires judiciaires et la chefferie traditionnelle locale.
Selon le chef de Projustice, Daniel Dobrovoljec, il s’agit de moderniser et dynamiser l’administration judiciaire en proposant des activités, notamment la formation sous forme de séminaire, des magistrats, greffiers ainsi que des officiers de police judiciaire.
M. Dobrovoljec a souligné qu’il est important d’améliorer l’accès à la justice de la population ivoirienne en mettant le droit au service des citoyens et faire mieux connaitre le système judiciaire ivoirien à travers 11 tribunaux pilotes qui ont été choisis à cet effet.
« Nous mettrons dans ces tribunaux des kiosques d’information et d’orientation où les accueillants donneront au justiciables des brochures en langage simple qui seront à la portée de tous les citoyens », a-t-il précisé.
Le président du tribunal, Gamin Célestin a fait savoir que la justice ivoirienne fait l’objet de nombreuses critiques liées à sa lenteur et sa partialité. Selon lui, ces critiques sont souvent non justifiées et dues en grande partie à la méconnaissance de l’appareil judiciaire par les usagers du service public.
Il s’est engagé avec Projustice à améliorer le système de gestion et de traitement des procédures, à accroître l’accès à la justice en aidant les personnes les plus défavorisées et à moraliser le système judiciaire.
Projustice est financé par l’agence américaine USAID.
Selon le chef de Projustice, Daniel Dobrovoljec, il s’agit de moderniser et dynamiser l’administration judiciaire en proposant des activités, notamment la formation sous forme de séminaire, des magistrats, greffiers ainsi que des officiers de police judiciaire.
M. Dobrovoljec a souligné qu’il est important d’améliorer l’accès à la justice de la population ivoirienne en mettant le droit au service des citoyens et faire mieux connaitre le système judiciaire ivoirien à travers 11 tribunaux pilotes qui ont été choisis à cet effet.
« Nous mettrons dans ces tribunaux des kiosques d’information et d’orientation où les accueillants donneront au justiciables des brochures en langage simple qui seront à la portée de tous les citoyens », a-t-il précisé.
Le président du tribunal, Gamin Célestin a fait savoir que la justice ivoirienne fait l’objet de nombreuses critiques liées à sa lenteur et sa partialité. Selon lui, ces critiques sont souvent non justifiées et dues en grande partie à la méconnaissance de l’appareil judiciaire par les usagers du service public.
Il s’est engagé avec Projustice à améliorer le système de gestion et de traitement des procédures, à accroître l’accès à la justice en aidant les personnes les plus défavorisées et à moraliser le système judiciaire.
Projustice est financé par l’agence américaine USAID.