San Pedro – Faisant lundi le point à la presse de l’attaque survenue la veille dans la localité de Grabo (Sud-Ouest) par des assaillants, le préfet de la région de San Pedro, Coulibaly Ousmane, a rassuré les populations sur les dispositions sécuritaires prises et les a invitées à collaborer avec les forces de sécurités afin de leur permettre de mieux les protéger.
« C’est l’occasion pour moi de faire appel à la population pour demander sa contribution afin que nous puissions parer à ces éventualités. Il ne peut pas y avoir de sécurité si la population n’accepte pas de collaborer », a plaidé le préfet militaire.
Selon le bilan dressé par la première autorité préfectorale de la région, quatre soldats des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) ont été tuées au cours de l’attaque, dont trois dans le village de Faitêh, et un dans la commune de Grabo.
Au niveau de la population civile, deux femmes ont été blessées par balles dans le premier village attaqué, Faitêh.
Le préfet a indiqué qu’au moment où il s'exprimait, l’identité des assaillants et leurs motivations restaient inconnues.
Selon le préfet militaire de la région de San Pedro, « ces incidents malheureux, sont les derniers soubresauts » de la crise ivoirienne. Il a rassuré qu'avant ces incidents des dispositions ont été prises pour protéger hermétiquement la ville de San Pedro.
Pour l’ensemble de la région, Coulibaly Ousmane rassure que les Forces républicaines de Côte d’Ivoire sauront prendre les dispositions nécessaires « pour que plus jamais ces genres d’incidents malheureux ne se reproduisent dans la région de San Pedro ».
Deux villages, Faitêh et Soto, de la sous-préfecture de Grabo et la commune même de Grabo, ont fait dans la nuit de samedi à dimanche, l’objet d’attaques de la part d’assaillants dont des témoins ont confié être venus du Libéria voisin.
Depuis 11H, dimanche, les FRCI et les forces armées de l’ONUCI ont repoussé l’attaque. La sérénité est revenue dans la localité, et les activités ont repris leur cours.
(Aip)
jmk/cmas
« C’est l’occasion pour moi de faire appel à la population pour demander sa contribution afin que nous puissions parer à ces éventualités. Il ne peut pas y avoir de sécurité si la population n’accepte pas de collaborer », a plaidé le préfet militaire.
Selon le bilan dressé par la première autorité préfectorale de la région, quatre soldats des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) ont été tuées au cours de l’attaque, dont trois dans le village de Faitêh, et un dans la commune de Grabo.
Au niveau de la population civile, deux femmes ont été blessées par balles dans le premier village attaqué, Faitêh.
Le préfet a indiqué qu’au moment où il s'exprimait, l’identité des assaillants et leurs motivations restaient inconnues.
Selon le préfet militaire de la région de San Pedro, « ces incidents malheureux, sont les derniers soubresauts » de la crise ivoirienne. Il a rassuré qu'avant ces incidents des dispositions ont été prises pour protéger hermétiquement la ville de San Pedro.
Pour l’ensemble de la région, Coulibaly Ousmane rassure que les Forces républicaines de Côte d’Ivoire sauront prendre les dispositions nécessaires « pour que plus jamais ces genres d’incidents malheureux ne se reproduisent dans la région de San Pedro ».
Deux villages, Faitêh et Soto, de la sous-préfecture de Grabo et la commune même de Grabo, ont fait dans la nuit de samedi à dimanche, l’objet d’attaques de la part d’assaillants dont des témoins ont confié être venus du Libéria voisin.
Depuis 11H, dimanche, les FRCI et les forces armées de l’ONUCI ont repoussé l’attaque. La sérénité est revenue dans la localité, et les activités ont repris leur cours.
(Aip)
jmk/cmas