Bouaké - La plate-forme de la société civile pour la paix et la démocratie en collaboration avec les autorités administratives de Bouaké ont installé, mercredi, des Comités de suivi à la base (CSB), et de contrôle citoyen de l’action publique, dans l’optique de la bonne gouvernance.
Son coordonateur général, M. Soumaïla Doumbia, a indiqué que les Comités de suivi à la base devraient œuvrer à la collecte des informations auprès des services administratifs déconcentrés, les autorités décentralisées, les entreprises privées et les populations, à l’analyse de ces données, à la sensibilisation des acteurs et à des actions de plaidoyer et lobbying au niveau communal.
«Oui, une vrai société civile sert de conscience d’éveil à la société», a-t-il souligné, s’engageant à signaler aux autorités locales tout ce qui n’irait pas bien dans la cité, afin qu’elles y trouvent des solutions.
Le sous-préfet central de Bouaké, M. Djandet Lorng, présidant la signature du ‘’mémorandum’’ de la société civile par les acteurs politiques locaux, a salué la l’initiative de cette organisation de la société civile, et encouragé les membres du Comité de suivi à la base à assumer leurs responsabilités pour le développement de la démocratie.
«Ici à Bouaké, rien ne se fera à votre insu», a promis le premier adjoint au maire, M. Zoumna Ouattara, qui considère la mise en place de ce comité comme une « redondance » pour l’équipe du maire Djibo Nicolas, estimant qu’elle est ‘’déjà dans la démocratie’’ et en phase avec le «mémorandum» signé avec la société civile pendant la campagne électorale.
Dans l’optique de la promotion de la bonne gouvernance et de la démocratie dans la gestion de la chose publique, la plate de forme de la société civile pour la paix et la démocratie avait initié un «mémorandum de la société civile pour un contrat sociopolitique avec les acteurs politiques» signé, le 16 avril, par les candidats aux élections municipales et régionales.
Les vingt cinq membres de ces Comités issus de toutes les couches sociales, notamment des jeunes, des femmes, des religieux, la notabilité et des handicapés. Ils avaient déjà bénéficié de décembre à janvier, d’une formation sur le budget participatif et la bonne gouvernance.
(AIP)
nbf/ask
Son coordonateur général, M. Soumaïla Doumbia, a indiqué que les Comités de suivi à la base devraient œuvrer à la collecte des informations auprès des services administratifs déconcentrés, les autorités décentralisées, les entreprises privées et les populations, à l’analyse de ces données, à la sensibilisation des acteurs et à des actions de plaidoyer et lobbying au niveau communal.
«Oui, une vrai société civile sert de conscience d’éveil à la société», a-t-il souligné, s’engageant à signaler aux autorités locales tout ce qui n’irait pas bien dans la cité, afin qu’elles y trouvent des solutions.
Le sous-préfet central de Bouaké, M. Djandet Lorng, présidant la signature du ‘’mémorandum’’ de la société civile par les acteurs politiques locaux, a salué la l’initiative de cette organisation de la société civile, et encouragé les membres du Comité de suivi à la base à assumer leurs responsabilités pour le développement de la démocratie.
«Ici à Bouaké, rien ne se fera à votre insu», a promis le premier adjoint au maire, M. Zoumna Ouattara, qui considère la mise en place de ce comité comme une « redondance » pour l’équipe du maire Djibo Nicolas, estimant qu’elle est ‘’déjà dans la démocratie’’ et en phase avec le «mémorandum» signé avec la société civile pendant la campagne électorale.
Dans l’optique de la promotion de la bonne gouvernance et de la démocratie dans la gestion de la chose publique, la plate de forme de la société civile pour la paix et la démocratie avait initié un «mémorandum de la société civile pour un contrat sociopolitique avec les acteurs politiques» signé, le 16 avril, par les candidats aux élections municipales et régionales.
Les vingt cinq membres de ces Comités issus de toutes les couches sociales, notamment des jeunes, des femmes, des religieux, la notabilité et des handicapés. Ils avaient déjà bénéficié de décembre à janvier, d’une formation sur le budget participatif et la bonne gouvernance.
(AIP)
nbf/ask