Agboville - Un internat de plus de 500 lits ouvrira ces portes dans la cité d’Agboville, probablement en début d’année 2015, a révélé le promoteur du projet, vendredi dans un entretien avec la presse à Agboville.
"L’internat comportera 65 dortoirs de huit lits chacun, soit 520 places disponibles", a indiqué Inchaud Ayet Arsène, ajoutant que l’ouvrage sera réalisé sur un site de plusieurs hectares au quartier "Lycée’, non loin des trois grands établissements scolaires publics de la ville.
Cet internat aura également une salle d’études, un restaurant, un espace de jeux et une piscine.
"Je veux sortir les élèves d’Agboville des terribles conditions d’étude", a déclaré l’opérateur économique qui s’est insurgé contre le déficit criant des foyers dans la ville, mettant les élèves dans les difficultés de logement quand bien même que des parents aux villages auraient des moyens financiers.
M. Inchaud a rappelé qu’il est du devoir des cadres et fils du département qui ont bénéficié à titre gracieux des infrastructures scolaires, dont les internats, à faciliter à leur tour les conditions de vie et d’étude de l’actuelle génération d’élèves à Agboville.
Saluant l’avantage d’avoir un des taux de scolarisation les plus élevés dans le pays, il a regretté qu’Agboville ne puisse en tirer profit, à cause des difficiles conditions de vie des élèves.
"Les conséquences sont malheureusement l’échec scolaire, l’abandon des classes et surtout les grossesses en milieu scolaire", a déploré Inchaud Arsène.
Plus de 11.000 élèves sont inscrits dans les trois lycées modernes et le centre technique public contre au moins de 9.000 autres répartis, dans la dizaine d’écoles secondaires privées d’enseignement général et technique, indique-t-on.
(AIP)
dd/kp
"L’internat comportera 65 dortoirs de huit lits chacun, soit 520 places disponibles", a indiqué Inchaud Ayet Arsène, ajoutant que l’ouvrage sera réalisé sur un site de plusieurs hectares au quartier "Lycée’, non loin des trois grands établissements scolaires publics de la ville.
Cet internat aura également une salle d’études, un restaurant, un espace de jeux et une piscine.
"Je veux sortir les élèves d’Agboville des terribles conditions d’étude", a déclaré l’opérateur économique qui s’est insurgé contre le déficit criant des foyers dans la ville, mettant les élèves dans les difficultés de logement quand bien même que des parents aux villages auraient des moyens financiers.
M. Inchaud a rappelé qu’il est du devoir des cadres et fils du département qui ont bénéficié à titre gracieux des infrastructures scolaires, dont les internats, à faciliter à leur tour les conditions de vie et d’étude de l’actuelle génération d’élèves à Agboville.
Saluant l’avantage d’avoir un des taux de scolarisation les plus élevés dans le pays, il a regretté qu’Agboville ne puisse en tirer profit, à cause des difficiles conditions de vie des élèves.
"Les conséquences sont malheureusement l’échec scolaire, l’abandon des classes et surtout les grossesses en milieu scolaire", a déploré Inchaud Arsène.
Plus de 11.000 élèves sont inscrits dans les trois lycées modernes et le centre technique public contre au moins de 9.000 autres répartis, dans la dizaine d’écoles secondaires privées d’enseignement général et technique, indique-t-on.
(AIP)
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