Abidjan – Le Syndicat national des professionnels de l’action culturelle (SYNAPACI) qui a déposé un préavis de grève le 20 mars, "observera effectivement un arrêt de travail illimité à compter du 17 avril ", a déclaré lundi le secrétaire général de cette organisation, Ouattara Ibrahim, lors d’une conférence de presse à Abidjan.
Le préavis de grève courant jusqu’au 16 avril vise à obtenir la signature, par le gouvernement ,d’un décret portant institution d’une indemnité de risques et de sujétion avec d’effet à compter du 1er janvier 2012. Il vise également la prise en compte de ces acteurs du développement culturel dans les emplois du secteur Education-Formation.
"Si nos revendications ne sont pas satisfaites, nous allons arrêter le travail dans les directions centrales et régionales, les services rattachés et les établissements sous tutelle, les bibliothèques, les musées, les centres d’action culturelle, les centres de documentation, les services et centres d’archives des ministères et institutions de l’Etat ", a prévenu Ouattara Ibrahim.
Décriant le fait que les professionnels de l’action culturelle sont "prolétarisés et sinistrés", il a pris à témoin les organisations internationales, notamment l’Unesco, "sur le sort réservé par la Côte d’Ivoire à son personnel spécialisé du développement culturel.
Le SYNAPACI avait suspendu en décembre 2013 un premier prévis de grève le ministère de la Culture et de la francophonie et la Commission des affaires sociales et culturelles de l’Assemblée nationale ayant promis répondre favorablement à la satisfaction de leurs revendications.
Selon le SYNAPACI les indemnités de risque et de sujétion s’élèvent à 586 millions FCFA par an pour les 1.120 agents de ce secteur d’activités.
aaa/tm
Le préavis de grève courant jusqu’au 16 avril vise à obtenir la signature, par le gouvernement ,d’un décret portant institution d’une indemnité de risques et de sujétion avec d’effet à compter du 1er janvier 2012. Il vise également la prise en compte de ces acteurs du développement culturel dans les emplois du secteur Education-Formation.
"Si nos revendications ne sont pas satisfaites, nous allons arrêter le travail dans les directions centrales et régionales, les services rattachés et les établissements sous tutelle, les bibliothèques, les musées, les centres d’action culturelle, les centres de documentation, les services et centres d’archives des ministères et institutions de l’Etat ", a prévenu Ouattara Ibrahim.
Décriant le fait que les professionnels de l’action culturelle sont "prolétarisés et sinistrés", il a pris à témoin les organisations internationales, notamment l’Unesco, "sur le sort réservé par la Côte d’Ivoire à son personnel spécialisé du développement culturel.
Le SYNAPACI avait suspendu en décembre 2013 un premier prévis de grève le ministère de la Culture et de la francophonie et la Commission des affaires sociales et culturelles de l’Assemblée nationale ayant promis répondre favorablement à la satisfaction de leurs revendications.
Selon le SYNAPACI les indemnités de risque et de sujétion s’élèvent à 586 millions FCFA par an pour les 1.120 agents de ce secteur d’activités.
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