Bouaké - Des acteurs de divers secteurs d’activités ont planché, jeudi et vendredi à Bouaké, sur l’état des sports et loisirs dans la région de Gbèkè et ont proposé quelques solutions au différents maux pour la redynamisation des disciplines sportives.
Les participants à l’atelier initié par la direction régionale de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs, ont relevé que la région souffre d’une façon générale, selon les localités, de la vétusté, de l’insuffisance, du délabrement avancé et de l’absence d’infrastructures sportives et d’équipements matériels.
Ils ont alors proposé la réhabilitation des infrastructures existantes, la construction de nouveaux complexes sportifs et de foyers de jeunes dans les localités qui en sont dépourvues. A l’université Alassane Ouattara qui ne dispose d’aucune structure sportive, ils recommandent particulièrement la réalisation d’un complexe avec une piscine.
Pour relancer les sports et loisirs dans la région, il faut remédier aussi, selon le rapport du séminaire, au problème de manque de soutiens matériels et financiers de la part des collectivités territoriales, des élus, des cadres, des entreprises et opérateurs économiques ainsi que le manque de formation continue des encadreurs des différente disciplines sportives.
Le séminaire a proposé, entre autres solutions, la réorganisation des compétitions OISSU, la revalorisation de l’éducation physique et sportive, la promotion des anciennes gloires et la sollicitation de leurs expertises.
Le directeur régional de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs, M. Kouakou Konan Daniel, croit que «Bouaké va repartir sur de nouvelles bases pour avoir encore des sportifs de haut niveau». Il s’est félicité du bon déroulement de cet atelier.
«L’Etat ne néglige pas le sport mais il y a des contingences et tout le monde le sait», a indiqué le préfet de la région de Gbèkè, préfet du département de Bouaké, M. Aka Konin qui a promis de transmettre le rapport de l’atelier à qui de droit.
Les participants à l’atelier initié par la direction régionale de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs, ont relevé que la région souffre d’une façon générale, selon les localités, de la vétusté, de l’insuffisance, du délabrement avancé et de l’absence d’infrastructures sportives et d’équipements matériels.
Ils ont alors proposé la réhabilitation des infrastructures existantes, la construction de nouveaux complexes sportifs et de foyers de jeunes dans les localités qui en sont dépourvues. A l’université Alassane Ouattara qui ne dispose d’aucune structure sportive, ils recommandent particulièrement la réalisation d’un complexe avec une piscine.
Pour relancer les sports et loisirs dans la région, il faut remédier aussi, selon le rapport du séminaire, au problème de manque de soutiens matériels et financiers de la part des collectivités territoriales, des élus, des cadres, des entreprises et opérateurs économiques ainsi que le manque de formation continue des encadreurs des différente disciplines sportives.
Le séminaire a proposé, entre autres solutions, la réorganisation des compétitions OISSU, la revalorisation de l’éducation physique et sportive, la promotion des anciennes gloires et la sollicitation de leurs expertises.
Le directeur régional de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs, M. Kouakou Konan Daniel, croit que «Bouaké va repartir sur de nouvelles bases pour avoir encore des sportifs de haut niveau». Il s’est félicité du bon déroulement de cet atelier.
«L’Etat ne néglige pas le sport mais il y a des contingences et tout le monde le sait», a indiqué le préfet de la région de Gbèkè, préfet du département de Bouaké, M. Aka Konin qui a promis de transmettre le rapport de l’atelier à qui de droit.
