Daloa - La mesure d’interdiction de consommer du gibier pour cause d’Ebola, est durement ressentie par les ‘’Maquis’’ et autres restaurants de spécialités africaines de la place, où la "viande de brousse" régnait en maître jusque-là, a constaté l’AIP.
A l’issue d’une enquête effectuée jeudi, dans quelques ‘’Maquis’’ de la cité des antilopes, la plupart des tenancières rencontrées disent s’adapter difficilement à la mesure prise par le gouvernement pour préserver les populations du virus d’Ebola qui est aux portes du pays.
Du ‘’Maquis Sous-bois’’, en passant par le restaurant ‘’Entre-nous’’, les Maquis ‘’Dallas’’ et ‘’Planteurs-gare’’, les propriétaires des lieux, quelque peu désabusées, affirment que ‘’ça ne marche pas fort’’ depuis qu’elles sont contraintes de préparer uniquement du poisson, de la viande de bœuf, voire du poulet.
Elles reconnaissent que la clientèle a baissé tout comme les chiffres d’affaires, du fait de cette mesure. Car, s’il y a de rares irréductibles qui se fâchent du manque de gibier dans les assiettes des restaurants, la grande majorité de ceux qui fréquentent les ‘’maquis’’ préfèrent observer le mot d’ordre du gouvernement pour ne pas se mettre en danger, selon les dames Yao Ahou Pauline et Bléhi Marguérite.
Au total, toutes ces bonnes dames qui ont été sensibilisées sur la question, par les services de l’Institut National d’Hygiène Publique, sur l’interdiction de servir du gibier, espèrent que cette période très difficile, passera très rapidement pour la survie de leurs activités.
Par ailleurs, dans le cadre des mesures d’hygiène à observer pour prévenir la maladie qui sévit dans les pays qui entourent la Côte d’Ivoire, le directeur départemental de la Santé, Goun Ziamé a initié dans la semaine, une séance de sensibilisation, au cours de laquelle, il invité la population à adopter des gestes simples et pratiques qui permettent d’éviter le virus d’Ebola.
Outre le fait d’éviter de manipuler ou de consommer de la viande de gibier, il a également conseillé d’éviter tout contact avec les secrétions humaines, que ce soit la sueur, les urines, les matières fécales, lorsqu’un patient présente les symptômes, mais aussi de pratiquer de façon systématique le lavage des mains avant de manger ou après avoir été à la toilette etc.
A l’issue d’une enquête effectuée jeudi, dans quelques ‘’Maquis’’ de la cité des antilopes, la plupart des tenancières rencontrées disent s’adapter difficilement à la mesure prise par le gouvernement pour préserver les populations du virus d’Ebola qui est aux portes du pays.
Du ‘’Maquis Sous-bois’’, en passant par le restaurant ‘’Entre-nous’’, les Maquis ‘’Dallas’’ et ‘’Planteurs-gare’’, les propriétaires des lieux, quelque peu désabusées, affirment que ‘’ça ne marche pas fort’’ depuis qu’elles sont contraintes de préparer uniquement du poisson, de la viande de bœuf, voire du poulet.
Elles reconnaissent que la clientèle a baissé tout comme les chiffres d’affaires, du fait de cette mesure. Car, s’il y a de rares irréductibles qui se fâchent du manque de gibier dans les assiettes des restaurants, la grande majorité de ceux qui fréquentent les ‘’maquis’’ préfèrent observer le mot d’ordre du gouvernement pour ne pas se mettre en danger, selon les dames Yao Ahou Pauline et Bléhi Marguérite.
Au total, toutes ces bonnes dames qui ont été sensibilisées sur la question, par les services de l’Institut National d’Hygiène Publique, sur l’interdiction de servir du gibier, espèrent que cette période très difficile, passera très rapidement pour la survie de leurs activités.
Par ailleurs, dans le cadre des mesures d’hygiène à observer pour prévenir la maladie qui sévit dans les pays qui entourent la Côte d’Ivoire, le directeur départemental de la Santé, Goun Ziamé a initié dans la semaine, une séance de sensibilisation, au cours de laquelle, il invité la population à adopter des gestes simples et pratiques qui permettent d’éviter le virus d’Ebola.
Outre le fait d’éviter de manipuler ou de consommer de la viande de gibier, il a également conseillé d’éviter tout contact avec les secrétions humaines, que ce soit la sueur, les urines, les matières fécales, lorsqu’un patient présente les symptômes, mais aussi de pratiquer de façon systématique le lavage des mains avant de manger ou après avoir été à la toilette etc.