Les cadres du département de Korhogo, jeunes et femmes se retrouvent ce samedi à la salle de conférence des architectes de Côte d’Ivoire, à Cocody – Danga. Le prétexte est de mettre en place un cadre de concertation, de réflexion et d’actions pour permettre le développement économique et social dudit département.
Le président du comité ad’hoc du cadre, l’honorable Lacina Koné, vice-président de l’Assemblée nationale, lors d’une rencontre avec la presse le 8 avril au siège des Editions Balafon situé à la Riviera II, a invité «tous ceux qui ont des intérêts à Korhogo à y apporter leurs idées et solutions idoines à certaines problèmes» pour formaliser ce cadre de concertation qui manque au «grand département». «Il y a de petites organisations ça et là. Mais, il est plus facile de mettre ensemble nos maux pour trouver des solutions», a indiqué l’honorable Lacina Koné. «L’Etat fait ce qu’il peut, mais ne peut tout faire», a-t-il encouragé. Pour le président du comité ad’hoc, ce cadre de concertation qu’ils veulent mettre en place «n’a aucune coloration politique et religieuse». «Il s’agit, a-t-il précisé, du développement économique et social de Korhogo». D’où son appel à l’unité peu importe le bord politique : «Là où il n’y a pas d’unité, il n’y a pas de développement. Il faut l’union pour parvenir à la synergie du développement. Il est important de se retrouver, pour que naisse la confiance entre les fils de Korhogo».
Selon le président du comité ad’hoc du cadre, «l’émergence qui a besoin d’être accompagnée, n’est rien d’autre que le développement. D’où «l’empreinte» que veulent y apporter les cadres et la jeunesse de Korhogo.
Ce cadre de concertation, est, a-t-il traduit, un moyen de faire revivre à Korhogo le Club Aubin, une organisation qui a existé «et qui y est allé de sa mort lente».
«Nous allons nous appuyer sur ce passé en essayant d’améliorer ce que nous allons faire», a-t-il soutenu.
Koné Saydoo
Le président du comité ad’hoc du cadre, l’honorable Lacina Koné, vice-président de l’Assemblée nationale, lors d’une rencontre avec la presse le 8 avril au siège des Editions Balafon situé à la Riviera II, a invité «tous ceux qui ont des intérêts à Korhogo à y apporter leurs idées et solutions idoines à certaines problèmes» pour formaliser ce cadre de concertation qui manque au «grand département». «Il y a de petites organisations ça et là. Mais, il est plus facile de mettre ensemble nos maux pour trouver des solutions», a indiqué l’honorable Lacina Koné. «L’Etat fait ce qu’il peut, mais ne peut tout faire», a-t-il encouragé. Pour le président du comité ad’hoc, ce cadre de concertation qu’ils veulent mettre en place «n’a aucune coloration politique et religieuse». «Il s’agit, a-t-il précisé, du développement économique et social de Korhogo». D’où son appel à l’unité peu importe le bord politique : «Là où il n’y a pas d’unité, il n’y a pas de développement. Il faut l’union pour parvenir à la synergie du développement. Il est important de se retrouver, pour que naisse la confiance entre les fils de Korhogo».
Selon le président du comité ad’hoc du cadre, «l’émergence qui a besoin d’être accompagnée, n’est rien d’autre que le développement. D’où «l’empreinte» que veulent y apporter les cadres et la jeunesse de Korhogo.
Ce cadre de concertation, est, a-t-il traduit, un moyen de faire revivre à Korhogo le Club Aubin, une organisation qui a existé «et qui y est allé de sa mort lente».
«Nous allons nous appuyer sur ce passé en essayant d’améliorer ce que nous allons faire», a-t-il soutenu.
Koné Saydoo