Abidjan - L’Opération des Nations-Unies en Côte d’ivoire (ONUCI) a organisé, jeudi, une séance de sensibilisation sur les violences basées sur le genre et la maltraitance des enfants, au profit des populations de Pinhou, localité située près de Duékoué, à 514 km au nord-ouest d’Abidjan.
"Les enfants sont à protéger, compte tenu de leur état de vulnérabilité. Nous devons les encadrer et les scolariser pour leur devenir futur. Eloignons-les des travaux champêtres qui pourraient être un frein à leur développement", a déclaré le représentant du bureau de l’Information publique de l’ONUCI, Pierre Aby, au cours de cette rencontre.
L’ONUCI avait à ses côtés, pour la circonstance, ses partenaires de la commission dialogue vérité et réconciliation (CDVR) et de l’International Rescue Committee (IRC), souligne un communiqué de l’ONUCI transmis à l’AIP.
Abdouraoufou Dermane de la Police des Nations Unies a mis en exergue le caractère pénal du forfait. "Le travail qui porte atteinte à l’intégrité physique de l’enfant est condamnable par la loi; tout comme le viol qui est comparable à un assassinat", a-t-il souligné.
Antoinette Doguehi de l’IRC et Assana Tuo du Centre social ont, à leur tour, dénoncé le taux élevé, à Duekoué, de cas de violences faites sur le genre, le record dans la région du Guémon. "Nous vous exhortons à y mettre fin en démasquant les auteurs. Bannissez les arrangements à l’amiable qui participent à la croissance de ce fléau", ont-elles recommandé.
Le Chef de Pinhou, Kod Tahé, a apprécié le contenu des messages véhiculés par les membres de la délégation et appelé les populations à s’y conformer. "Je demande que chacun de nous œuvre dans le sens de l’apaisement dans le cadre de la cohésion sociale et contribue à la disparition des violences basées sur le genre dans le village", a-t-il conseillé.
"Les enfants sont à protéger, compte tenu de leur état de vulnérabilité. Nous devons les encadrer et les scolariser pour leur devenir futur. Eloignons-les des travaux champêtres qui pourraient être un frein à leur développement", a déclaré le représentant du bureau de l’Information publique de l’ONUCI, Pierre Aby, au cours de cette rencontre.
L’ONUCI avait à ses côtés, pour la circonstance, ses partenaires de la commission dialogue vérité et réconciliation (CDVR) et de l’International Rescue Committee (IRC), souligne un communiqué de l’ONUCI transmis à l’AIP.
Abdouraoufou Dermane de la Police des Nations Unies a mis en exergue le caractère pénal du forfait. "Le travail qui porte atteinte à l’intégrité physique de l’enfant est condamnable par la loi; tout comme le viol qui est comparable à un assassinat", a-t-il souligné.
Antoinette Doguehi de l’IRC et Assana Tuo du Centre social ont, à leur tour, dénoncé le taux élevé, à Duekoué, de cas de violences faites sur le genre, le record dans la région du Guémon. "Nous vous exhortons à y mettre fin en démasquant les auteurs. Bannissez les arrangements à l’amiable qui participent à la croissance de ce fléau", ont-elles recommandé.
Le Chef de Pinhou, Kod Tahé, a apprécié le contenu des messages véhiculés par les membres de la délégation et appelé les populations à s’y conformer. "Je demande que chacun de nous œuvre dans le sens de l’apaisement dans le cadre de la cohésion sociale et contribue à la disparition des violences basées sur le genre dans le village", a-t-il conseillé.