Bondoukou - Un expert en santé et sécurité au travail, Dr N’Choh Hugues, a relevé, lundi à Bondoukou, les conséquences des pires formes de travail au cours d'une conférence s'inscrivant dans le cadre d’un atelier initié par la direction de la lutte contre le travail des enfants.
Dr N’Choh Hugues a souligné la vulnérabilité de ceux-ci dans des travaux jugés "dangereux" et donc "interdits". Il s’agit notamment de l’abattage des arbres, du brûlis des champs, de la manipulation et de l’épandage des produits chimiques ainsi que du port des charges lourdes.
Ces travaux causent de "graves dommages" chez l’enfant, à savoir la "baisse du tonus musculaire, la perte de mémoire, ce qui entraine l’échec scolaire, la stérilité, la paralysie, des douleurs musculaires, l’hernie, des douleurs à l’épaule, la surdité, la déformation, des troubles visuels et des brûlures".
Dr N’Choh Hugues a exhorté les participants à s’impliquer davantage dans la lutte contre le travail des enfants, afin de "sauvegarder l’intégrité physique, le développement psychologique et intellectuel" de ces derniers.
Les participants, des autorités administratives, judiciaires, politiques, religieuses, traditionnelles, des directeurs centraux, des représentants des chefs de commandement des forces de sécurité et des responsables d'ONG de Bondoukou, se sont imprégnés "davantage" des dangers que courent les enfants en pratiquant des travaux difficiles.
Débuté lundi, l’atelier de renforcement des capacités sur les pires formes de travail des enfants prend fin mardi.
(AIP)
Ns/kkp/ask
Dr N’Choh Hugues a souligné la vulnérabilité de ceux-ci dans des travaux jugés "dangereux" et donc "interdits". Il s’agit notamment de l’abattage des arbres, du brûlis des champs, de la manipulation et de l’épandage des produits chimiques ainsi que du port des charges lourdes.
Ces travaux causent de "graves dommages" chez l’enfant, à savoir la "baisse du tonus musculaire, la perte de mémoire, ce qui entraine l’échec scolaire, la stérilité, la paralysie, des douleurs musculaires, l’hernie, des douleurs à l’épaule, la surdité, la déformation, des troubles visuels et des brûlures".
Dr N’Choh Hugues a exhorté les participants à s’impliquer davantage dans la lutte contre le travail des enfants, afin de "sauvegarder l’intégrité physique, le développement psychologique et intellectuel" de ces derniers.
Les participants, des autorités administratives, judiciaires, politiques, religieuses, traditionnelles, des directeurs centraux, des représentants des chefs de commandement des forces de sécurité et des responsables d'ONG de Bondoukou, se sont imprégnés "davantage" des dangers que courent les enfants en pratiquant des travaux difficiles.
Débuté lundi, l’atelier de renforcement des capacités sur les pires formes de travail des enfants prend fin mardi.
(AIP)
Ns/kkp/ask