Abidjan- La 33ème assemblée générale annuelle de "Shelter Afrique" s'est ouverte mardi à Abidjan, sous la présidence du Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, et se propose d'apporter des "solutions durables" à la problématique du logement en Afrique au terme d'un symposium sur "Les technologies et méthodes alternatives de construction, solutions durables pour alléger le déficit de logements en Afrique".
La rencontre d'Abidjan offre donc des opportunités d'échanges entre les professionnels de l’immobilier et les décideurs financiers du logement qui permettent de mettre en synergie toutes les stratégies capables d'impulser la dynamique de construction de logements aussi bien sociaux qu'économiques et de haut standing, afin de résoudre la crise du logement dans les pays africains.
M. Duncan a affirmé, à l’ouverture de la cérémonie, sa confiance en ‘’Shelter Afrique’’ pour résorber le déficit de logements et d’urbanisation en Afrique. Il a appelé les experts et participants des pays membres de cette institution à partager leurs expériences, en vue d’apporter des solutions durables aux problèmes soulevés.
Le ministre de la Construction, du Logement, de l’Assainissement et de l’Urbanisme, Mamadou Sanogo, a souhaité pour sa part que des "solutions techniques africaines impliquant l’utilisation de nos matériaux soient proposées et partagées lors de ce symposium pour enrichir notre savoir-faire" en matière de logement.
Il a rappelé par ailleurs que le Président Alassane Ouattara accorde une place de choix à la politique du logement en Côte d'Ivoire. Ce qui se matérialise par le vaste programme présidentiel de logements sociaux, économiques et de haut standing sur toute l’étendue du territoire national depuis 2013. C e programme vise, à terme, à doter le pays de plus de 150.000 logements.
‘’Shelter Afrique’’ est une institution panafricaine qui a été créée en 1982. Elle compte parmi ses actionnaires 44 Etats, la Banque africaine de développement (BAD) et Africa-Re. Elle finance le logement à des coûts abordables en Afrique, fournit de l’assistance technique aux Etats membres, afin de les aider à mieux penser leurs politiques de développement du secteur immobilier.
L'assemblée générale prend fin dimanche.
Amak/kkp/ask
La rencontre d'Abidjan offre donc des opportunités d'échanges entre les professionnels de l’immobilier et les décideurs financiers du logement qui permettent de mettre en synergie toutes les stratégies capables d'impulser la dynamique de construction de logements aussi bien sociaux qu'économiques et de haut standing, afin de résoudre la crise du logement dans les pays africains.
M. Duncan a affirmé, à l’ouverture de la cérémonie, sa confiance en ‘’Shelter Afrique’’ pour résorber le déficit de logements et d’urbanisation en Afrique. Il a appelé les experts et participants des pays membres de cette institution à partager leurs expériences, en vue d’apporter des solutions durables aux problèmes soulevés.
Le ministre de la Construction, du Logement, de l’Assainissement et de l’Urbanisme, Mamadou Sanogo, a souhaité pour sa part que des "solutions techniques africaines impliquant l’utilisation de nos matériaux soient proposées et partagées lors de ce symposium pour enrichir notre savoir-faire" en matière de logement.
Il a rappelé par ailleurs que le Président Alassane Ouattara accorde une place de choix à la politique du logement en Côte d'Ivoire. Ce qui se matérialise par le vaste programme présidentiel de logements sociaux, économiques et de haut standing sur toute l’étendue du territoire national depuis 2013. C e programme vise, à terme, à doter le pays de plus de 150.000 logements.
‘’Shelter Afrique’’ est une institution panafricaine qui a été créée en 1982. Elle compte parmi ses actionnaires 44 Etats, la Banque africaine de développement (BAD) et Africa-Re. Elle finance le logement à des coûts abordables en Afrique, fournit de l’assistance technique aux Etats membres, afin de les aider à mieux penser leurs politiques de développement du secteur immobilier.
L'assemblée générale prend fin dimanche.
Amak/kkp/ask
