Abidjan - Le cabinet international de conseil, de management et de GRH, JMti Consulting, a organisé, jeudi à Abidjan, un petit déjeuner-débat mettant à contribution des directeurs des ressources humaines, en vue de les instruire sur la nécessité de l’amélioration de la compétitivité à travers la valorisation de leur fonction.
Selon le directeur de ce cabinet, Jean Moutti, il est "impérieux" pour les entreprises en Côte d’Ivoire de passer du stade actuel de "performance" à celui d’"entreprise compétitive", eu égard aux exigences des normes de qualité au niveau international, ainsi qu’à la politique de l’emploi.
"Par rapport à la politique de l’emploi, il faudrait que les entreprises en Côte d’Ivoire deviennent des entreprises compétitives, qu’elles passent du stade d’entreprises performantes au stade d’entreprises compétitives parce que plus une entreprise est compétitive, plus elle élargit l’horizon de son marché, et en ce moment là, elle peut procéder à des recrutements", a exprimé M. Moutti.
"Le problème en Côte d’Ivoire, c’est qu’on n’a pas réfléchi pour faire de nos entreprises des entreprises compétitives, sinon le capital humain existe. C’est dans ce cadre que ce petit déjeuner-débat que nous avons organisé avec les directeurs des ressources humaines dans le cadre de la promotion de l’emploi des jeunes, nous avons dit qu’il y a des conditions à remplir", a-t-il ajouté.
S’exprimant sur le processus d’émergence amorcé par la Côte d’Ivoire, Jean Moutti s’est félicité des efforts faits par l’Etat sans toutefois omettre d’exhorter de se pencher sur la compétitivité. " L’Etat est en train de mettre en place un certain nombre d’infrastructures, de prendre un certain nombre de décision au niveau du CEPICI.
Mais derrière, si le secteur privé ne devient pas compétitif, il sera difficile d’atteindre cette émergence. C’est pour dire qu’il faut que toutes les entreprises en Côte d’Ivoire s’engagent dans un processus d’amélioration de leur compétitivité", a-t-il exhorté.
Le consultant international a par ailleurs indiqué que six conditions s’imposent pour atteindre le "cap de la compétitivité", notamment la lutte contre la paupérisation des travailleurs, la modélisation de la vision managériale, la politique de responsabilisation et de partage du pouvoir de décision, l’ingénierie de la formation, le leadership des responsables hiérarchiques de proximité et la crédibilité des valeurs de culture d’entreprise.
Cette rencontre s’est tenue sur le thème "La fonction RH : levier stratégique pour améliorer la compétitivité de l’entreprise", précise-t-on.
Selon le directeur de ce cabinet, Jean Moutti, il est "impérieux" pour les entreprises en Côte d’Ivoire de passer du stade actuel de "performance" à celui d’"entreprise compétitive", eu égard aux exigences des normes de qualité au niveau international, ainsi qu’à la politique de l’emploi.
"Par rapport à la politique de l’emploi, il faudrait que les entreprises en Côte d’Ivoire deviennent des entreprises compétitives, qu’elles passent du stade d’entreprises performantes au stade d’entreprises compétitives parce que plus une entreprise est compétitive, plus elle élargit l’horizon de son marché, et en ce moment là, elle peut procéder à des recrutements", a exprimé M. Moutti.
"Le problème en Côte d’Ivoire, c’est qu’on n’a pas réfléchi pour faire de nos entreprises des entreprises compétitives, sinon le capital humain existe. C’est dans ce cadre que ce petit déjeuner-débat que nous avons organisé avec les directeurs des ressources humaines dans le cadre de la promotion de l’emploi des jeunes, nous avons dit qu’il y a des conditions à remplir", a-t-il ajouté.
S’exprimant sur le processus d’émergence amorcé par la Côte d’Ivoire, Jean Moutti s’est félicité des efforts faits par l’Etat sans toutefois omettre d’exhorter de se pencher sur la compétitivité. " L’Etat est en train de mettre en place un certain nombre d’infrastructures, de prendre un certain nombre de décision au niveau du CEPICI.
Mais derrière, si le secteur privé ne devient pas compétitif, il sera difficile d’atteindre cette émergence. C’est pour dire qu’il faut que toutes les entreprises en Côte d’Ivoire s’engagent dans un processus d’amélioration de leur compétitivité", a-t-il exhorté.
Le consultant international a par ailleurs indiqué que six conditions s’imposent pour atteindre le "cap de la compétitivité", notamment la lutte contre la paupérisation des travailleurs, la modélisation de la vision managériale, la politique de responsabilisation et de partage du pouvoir de décision, l’ingénierie de la formation, le leadership des responsables hiérarchiques de proximité et la crédibilité des valeurs de culture d’entreprise.
Cette rencontre s’est tenue sur le thème "La fonction RH : levier stratégique pour améliorer la compétitivité de l’entreprise", précise-t-on.
