Abidjan – Quinze leaders syndicaux issus de la Fédération nationale des travailleurs du textile, du coton et de l’anacarde de Côte d’Ivoire (FENATTCA-CI) participent, de mercredi à jeudi, à Abidjan, à un atelier de renforcement des capacités organisé par la Fondation Friedrich Ebert (FES).
En marge des travaux, le représentant-résident de la FES en Côte d’Ivoire, Oliver Dalichau a justifié cette initiative par le fait que chaque société a besoin d’un syndicat fort qui défend les droits des travailleurs.
« Nous travaillons, nous nous identifions à travers notre travail. Si les conditions sont bonnes, la société en général fonctionne mieux », a-t-il précisé, en soulignant la grande importance du secteur textile dans le pays.
Pour M. Dalichau, il est donc capital pour la Fondation Friedrich Ebert de travailler avec les syndicats en général, car la FES fait partie, dit-il, de la famille de la démocratie sociale et promeut donc la justice sociale, les droits des travailleurs inclus.
Les objectifs spécifiques de la formation sont d’améliorer les connaissances des membres pour une meilleure gestion des syndicats et des organisations des travailleurs, de renforcer leurs capacités pour une meilleure défense des intérêts des travailleurs, et de les amener à prendre conscience de leur rôle, pour le développement de leur entreprise.
Sont ciblés par la formation, les leaders syndicaux, les délégués du personnel et les militants de base issus de la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (CIDT), de la Compagnie ivoirienne du coton (COIC), de la COTIVO, d’UNIWAX, de FTG, de TEX-CI et de Global Cotton.
Les modules portent sur les fondamentaux du syndicalisme, la gestion financière des syndicats et des organisations des travailleurs, la bonne gouvernance, la négociation collective, la communication, l’éthique syndicale et le leadership, la prévention et la gestion des conflits, ainsi que les moyens de revendication. La formation de deux jours est assurée par UNI Africa et l’inspection du Travail.
(AIP)
kkp/cmas
En marge des travaux, le représentant-résident de la FES en Côte d’Ivoire, Oliver Dalichau a justifié cette initiative par le fait que chaque société a besoin d’un syndicat fort qui défend les droits des travailleurs.
« Nous travaillons, nous nous identifions à travers notre travail. Si les conditions sont bonnes, la société en général fonctionne mieux », a-t-il précisé, en soulignant la grande importance du secteur textile dans le pays.
Pour M. Dalichau, il est donc capital pour la Fondation Friedrich Ebert de travailler avec les syndicats en général, car la FES fait partie, dit-il, de la famille de la démocratie sociale et promeut donc la justice sociale, les droits des travailleurs inclus.
Les objectifs spécifiques de la formation sont d’améliorer les connaissances des membres pour une meilleure gestion des syndicats et des organisations des travailleurs, de renforcer leurs capacités pour une meilleure défense des intérêts des travailleurs, et de les amener à prendre conscience de leur rôle, pour le développement de leur entreprise.
Sont ciblés par la formation, les leaders syndicaux, les délégués du personnel et les militants de base issus de la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (CIDT), de la Compagnie ivoirienne du coton (COIC), de la COTIVO, d’UNIWAX, de FTG, de TEX-CI et de Global Cotton.
Les modules portent sur les fondamentaux du syndicalisme, la gestion financière des syndicats et des organisations des travailleurs, la bonne gouvernance, la négociation collective, la communication, l’éthique syndicale et le leadership, la prévention et la gestion des conflits, ainsi que les moyens de revendication. La formation de deux jours est assurée par UNI Africa et l’inspection du Travail.
(AIP)
kkp/cmas
