Bouaké -Le porte-parole des animateurs des centres d'alphabétisation de Bouaké (Centre, région de Gbèkè), M. Djamala Koffi Edmond, appelle à soutenir ces centres de formation notamment les collectivités décentralisées et toutes les autres structures désireuses de contribuer à l'éradication de l'analphabétisme.
M. Djamala a lancé l’appel lors de la journée de l’alphabétisation, une cérémonie qu’il considère comme "un symbole et un appel de détresse solennel’’ visant à susciter des actions concrètes en faveur de l’alphabétisation pour le bonheur des populations.
Ces soutiens devront contribuer à règler les difficultés de trésorerie, le manque de moyens de déplacement, de matériels didactiques, informatiques et de bureau.
Justifiant l’importance du travail abattu par les centres, leur porte-parole a signifié que l’alphabétisation ou l’apprentissage de l’écriture, de la lecture et du calcul simplifié est ‘’le meilleur moyen de lutter contre la pauvreté et de donner la possibilité à chaque citoyen de participer à la vie économique, sociale et politique’’.
"Beaucoup a été fait, mais beaucoup encore reste à faire’’, a-t-il affirmé, avant de remercier tous ceux qui apportent leur contribution à leurs actions et saluer en particulier l’action du maire de Bouaké, M. Djibo Youssouf Nicolas, qui a déjà ouvert 12 centres d’alphabétisation dans sa commune.
Le représentant du parrain (président du conseil régional), M. Koué Bi Tian François, a traduit ses encouragements aux animateurs des centres d’alphabétisation et promis le soutien de l’institution décentralisation à leur "combat".
En 2002, l’institut des statistiques de l’UNESCO, section de l’alphabétisation et l’éducation non formelle, a révélé que 51, 30 % de toute la population ivoirienne est analphabète.
De 2010 à 2014, le nombre des centres d’alphabétisation est passé de 50 avec un effectif 1126 apprenants à 120 centres pour 2669 élèves, avec un effectif de femmes toujours supérieur à celui des hommes, dans la région de Gbèkè. Pour la session 2014 de l’examen du Certificat d’étude primaire élémentaire (CEPE), 88 candidats ont été déclarés admis sur 120 présentés par les centres d'alphabétisation.
(AIP)
nbf/ask
M. Djamala a lancé l’appel lors de la journée de l’alphabétisation, une cérémonie qu’il considère comme "un symbole et un appel de détresse solennel’’ visant à susciter des actions concrètes en faveur de l’alphabétisation pour le bonheur des populations.
Ces soutiens devront contribuer à règler les difficultés de trésorerie, le manque de moyens de déplacement, de matériels didactiques, informatiques et de bureau.
Justifiant l’importance du travail abattu par les centres, leur porte-parole a signifié que l’alphabétisation ou l’apprentissage de l’écriture, de la lecture et du calcul simplifié est ‘’le meilleur moyen de lutter contre la pauvreté et de donner la possibilité à chaque citoyen de participer à la vie économique, sociale et politique’’.
"Beaucoup a été fait, mais beaucoup encore reste à faire’’, a-t-il affirmé, avant de remercier tous ceux qui apportent leur contribution à leurs actions et saluer en particulier l’action du maire de Bouaké, M. Djibo Youssouf Nicolas, qui a déjà ouvert 12 centres d’alphabétisation dans sa commune.
Le représentant du parrain (président du conseil régional), M. Koué Bi Tian François, a traduit ses encouragements aux animateurs des centres d’alphabétisation et promis le soutien de l’institution décentralisation à leur "combat".
En 2002, l’institut des statistiques de l’UNESCO, section de l’alphabétisation et l’éducation non formelle, a révélé que 51, 30 % de toute la population ivoirienne est analphabète.
De 2010 à 2014, le nombre des centres d’alphabétisation est passé de 50 avec un effectif 1126 apprenants à 120 centres pour 2669 élèves, avec un effectif de femmes toujours supérieur à celui des hommes, dans la région de Gbèkè. Pour la session 2014 de l’examen du Certificat d’étude primaire élémentaire (CEPE), 88 candidats ont été déclarés admis sur 120 présentés par les centres d'alphabétisation.
(AIP)
nbf/ask