Abidjan, Dans le cadre du projet Loujna Tounkaranké visant à défendre les droits des migrants en Afrique de l’Ouest, la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) et ses partenaires ont lancé vendredi à Abidjan, la Semaine de la mobilité sous-régionale qui s’étend du 1er au 07 juillet.
Cette semaine, au dire du point focal du projet en Côte d’Ivoire, Cissé Abderhamane, est marquée notamment par une caravane qui va s’ébranler de vendredi à samedi d’Abidjan vers Aboisso et Noé, ainsi qu’une rencontre lundi à Abidjan, avec des parlementaires, pour un plaidoyer en faveur du respect des droits des migrants.
Lors de la cérémonie de lancement de la caravane, le coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouamé Christophe, s’est réjoui du partenariat solide pour le développement d’une société civile forte, indépendante, impartiale devant aboutir, in fine, à la réduction de la pauvreté au sein des populations.
Il a demandé aux autorités des différents pays d’appliquer le Protocole du 29 mai 1979 de la CEDEAO, conférant aux ressortissants des 15 pays membres, le droit de circuler librement dans l’Etat de leur choix pour exercer ou non, une activité. Ces personnes jouissent de cinq droits (entrée, séjour, résidence, établissement, accès à la justice de la communauté).
En effet, le projet Loujna Tounkaranké qui a lieu simultanément au Niger, au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire, est une campagne CEDEAO de plaidoyer initiée par quatre organisations de la société civile ouest africaine (AEC du Niger, AME et ARACEM du Mali, RE.MI.DEV du Sénégal et CSCI de Côte d’Ivoire), appuyées par 16 organisations de la société civile du Maghreb, de France et de l’Afrique de l’ouest.
Le coordonateur sous-régional de la campagne CEDEAO, Boulama Hamadou Tcherno, venu du Niger pour l’occasion, a assuré la CSCI de son soutien pour cette activité. Pour lui, il s’agit d’une « campagne ambitieuse » parce qu’elle s’attaque aux tracasseries lors des voyages et à la corruption, donc à un fléau de grande dimension. Une projection de film sur la migration a eu lieu au cours de la cérémonie, dans le but de sensibiliser les populations.
La campagne, déjà exécutée au Niger, Mali et Sénégal, porte sur le thème "Bâtir une CEDEAO sans frontière".
(AIP)
cmas
Cette semaine, au dire du point focal du projet en Côte d’Ivoire, Cissé Abderhamane, est marquée notamment par une caravane qui va s’ébranler de vendredi à samedi d’Abidjan vers Aboisso et Noé, ainsi qu’une rencontre lundi à Abidjan, avec des parlementaires, pour un plaidoyer en faveur du respect des droits des migrants.
Lors de la cérémonie de lancement de la caravane, le coordonnateur national de la CSCI, Dr Kouamé Christophe, s’est réjoui du partenariat solide pour le développement d’une société civile forte, indépendante, impartiale devant aboutir, in fine, à la réduction de la pauvreté au sein des populations.
Il a demandé aux autorités des différents pays d’appliquer le Protocole du 29 mai 1979 de la CEDEAO, conférant aux ressortissants des 15 pays membres, le droit de circuler librement dans l’Etat de leur choix pour exercer ou non, une activité. Ces personnes jouissent de cinq droits (entrée, séjour, résidence, établissement, accès à la justice de la communauté).
En effet, le projet Loujna Tounkaranké qui a lieu simultanément au Niger, au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire, est une campagne CEDEAO de plaidoyer initiée par quatre organisations de la société civile ouest africaine (AEC du Niger, AME et ARACEM du Mali, RE.MI.DEV du Sénégal et CSCI de Côte d’Ivoire), appuyées par 16 organisations de la société civile du Maghreb, de France et de l’Afrique de l’ouest.
Le coordonateur sous-régional de la campagne CEDEAO, Boulama Hamadou Tcherno, venu du Niger pour l’occasion, a assuré la CSCI de son soutien pour cette activité. Pour lui, il s’agit d’une « campagne ambitieuse » parce qu’elle s’attaque aux tracasseries lors des voyages et à la corruption, donc à un fléau de grande dimension. Une projection de film sur la migration a eu lieu au cours de la cérémonie, dans le but de sensibiliser les populations.
La campagne, déjà exécutée au Niger, Mali et Sénégal, porte sur le thème "Bâtir une CEDEAO sans frontière".
(AIP)
cmas
