Réunis durant 3 jours à Abidjan dans le cadre d’un atelier, les travailleurs sociaux sur l’étendu du territoire national, sous la houlette du ministère de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant (MSFFE), et de celui de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle (MEMEASFP) avec l’appui de l’UNICEF, ont adopté un programme national d’animation communautaire.
Ce programme prévoit d’une part une synergie d’action entre les différentes structures sous tutelle du MSFFE et du MEMEASFP, et d’autre part une mobilisation accrue de ressources indispensable à la bonne exécution du programme national d’animation communautaire.
Madame Diabaté, Conseiller technique au MSFFE, Représentant le ministre Anne Oulotto, a salué « le travail remarquable qui a été accompli au cours des trois journées consacrées au renforcement des connaissances et aux échanges d’expériences en matière d’animation communautaire ». Elle a également félicité les intervenants qui ont contribué à la qualité des échanges d’informations nécessaires à la valorisation des compétences nationales d’une large communauté d’acteurs en matière d’animation communautaire et à la création d’alliances stratégiques pour la conduite du programme national d’animation communautaire.
Cet atelier a permis une meilleure compréhension des défis et enjeux de l’animation communautaire. Il a contribué à l’identification des besoins et des opportunités pour la réalisation de cet important programme, dira Mme Diabaté. Cet atelier a également mis en relief la nécessité de favoriser une synergie de planification et d’action entre les acteurs à charge de l’animation communautaire.
C’est par une sensibilisation globalisée de l’opinion publique (famille, communauté) tant du milieu rural que du milieu urbain, que pourront être combattues les violences, les abus et l’exploitation des enfants, a précisé Madame Diabaté. L’animation communautaire constitue un pôle d’intervention susceptible de produire des effets dans le changement de comportement et de mentalité des communautés par rapport aux normes et pratiques qui sont opposées aux droits de l’enfant. Elle est donc indispensable à la participation effective et durable des populations au processus de développement économique, social et culturel, a-t-elle conclu.
Ce programme prévoit d’une part une synergie d’action entre les différentes structures sous tutelle du MSFFE et du MEMEASFP, et d’autre part une mobilisation accrue de ressources indispensable à la bonne exécution du programme national d’animation communautaire.
Madame Diabaté, Conseiller technique au MSFFE, Représentant le ministre Anne Oulotto, a salué « le travail remarquable qui a été accompli au cours des trois journées consacrées au renforcement des connaissances et aux échanges d’expériences en matière d’animation communautaire ». Elle a également félicité les intervenants qui ont contribué à la qualité des échanges d’informations nécessaires à la valorisation des compétences nationales d’une large communauté d’acteurs en matière d’animation communautaire et à la création d’alliances stratégiques pour la conduite du programme national d’animation communautaire.
Cet atelier a permis une meilleure compréhension des défis et enjeux de l’animation communautaire. Il a contribué à l’identification des besoins et des opportunités pour la réalisation de cet important programme, dira Mme Diabaté. Cet atelier a également mis en relief la nécessité de favoriser une synergie de planification et d’action entre les acteurs à charge de l’animation communautaire.
C’est par une sensibilisation globalisée de l’opinion publique (famille, communauté) tant du milieu rural que du milieu urbain, que pourront être combattues les violences, les abus et l’exploitation des enfants, a précisé Madame Diabaté. L’animation communautaire constitue un pôle d’intervention susceptible de produire des effets dans le changement de comportement et de mentalité des communautés par rapport aux normes et pratiques qui sont opposées aux droits de l’enfant. Elle est donc indispensable à la participation effective et durable des populations au processus de développement économique, social et culturel, a-t-elle conclu.