Bouaflé – Le directeur régional de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant (SFFE) de la Marahoué (Centre-ouest), N’Goran Alexis, a organisé, mercredi, une séance de sensibilisation à Iribafla, localité située à 50 km de Bouaflé, sur l’importance de la déclaration des naissances.
Cette sensibilisation, destinée aux leaders d’opinion des villages de Bantifla et d’Iribafla, s’inscrit dans le cadre des activités du Bureau international du travail (BIT), à travers son projet IPEC-PPP dont l’objectif est la lutte contre le travail des enfants dans la cacao-culture.
« Aujourd’hui avec le BIT, nous menons une lutte contre la non-scolarisation des enfants et l’absence d’extraits de naissance chez les enfants », a fait savoir N’Goran Alexis.
Le directeur régional de la SFFE a indiqué que les femmes, les jeunes et les hommes sensibilisés par groupe doivent aider les agents des centres secondaires installés dans les deux villages contre la non-déclaration des naissances.
« Un enfant qui n’a pas d’extrait de naissance est comme une voiture sans immatriculation, car c’est à travers la déclaration de naissance qu’on connaît le nombre de décès et de naissances dans le village », a-t-il affirmé, invitant les villageois à s’impliquer davantage dans la lutte contre ce phénomène.
Dans le cadre des activités du BIT, des Comités locaux de vigilance (CLV) ont été mis en place à Iribafla et à Bantifla, pour veiller à la protection des enfants en dénonçant toutes les formes de violences faites aux enfants et sensibiliser les populations sur la nécessité de protéger leurs progénitures en les scolarisant.
Cette sensibilisation, destinée aux leaders d’opinion des villages de Bantifla et d’Iribafla, s’inscrit dans le cadre des activités du Bureau international du travail (BIT), à travers son projet IPEC-PPP dont l’objectif est la lutte contre le travail des enfants dans la cacao-culture.
« Aujourd’hui avec le BIT, nous menons une lutte contre la non-scolarisation des enfants et l’absence d’extraits de naissance chez les enfants », a fait savoir N’Goran Alexis.
Le directeur régional de la SFFE a indiqué que les femmes, les jeunes et les hommes sensibilisés par groupe doivent aider les agents des centres secondaires installés dans les deux villages contre la non-déclaration des naissances.
« Un enfant qui n’a pas d’extrait de naissance est comme une voiture sans immatriculation, car c’est à travers la déclaration de naissance qu’on connaît le nombre de décès et de naissances dans le village », a-t-il affirmé, invitant les villageois à s’impliquer davantage dans la lutte contre ce phénomène.
Dans le cadre des activités du BIT, des Comités locaux de vigilance (CLV) ont été mis en place à Iribafla et à Bantifla, pour veiller à la protection des enfants en dénonçant toutes les formes de violences faites aux enfants et sensibiliser les populations sur la nécessité de protéger leurs progénitures en les scolarisant.
