Les populations de Kafigué, localité de la sous-préfecture de Timbé située à 21 kilomètres sur l’axe Katiola-Dabakala, ne disposant pas d’infrastructures d’approvisionnement en eau potable, ne consomment que l’eau souillée d'un barrage.
« Les habitants du village sont obligés de consommer, de se laver, de faire la vaisselle avec de l’eau souillée », a regretté le chef du village qui s’exprimait sur le problème crucial que vivent ses administrés, à savoir le manque d’eau potable.
« La pompe hydraulique est abîmée depuis plusieurs années. Le barrage construit depuis plus de 30 ans ne répond plus aux besoins de la population », a ajouté le chef du village lors de la cérémonie de pose de la première pierre du bâtiment de la cantine scolaire.
Selon le médecin-chef du centre de santé urbain de Timbé, Dr Cissé, les populations sont exposées aux maladies hydriques, à la fièvre typhoïde, à la gastro-entérite, à la dysenterie amibienne, aux vers et aux maladies liées à la dermatose (gale, éruption cutanée bactérienne, vers de Guinée, ulcère de Buruli).
Une visite guidée avec les autorités administratives, politiques et coutumières a permis de voir le barrage qui fournit cette eau impropre.
Le chef de Kafigué a lancé un cri de cœur à l’endroit du gouvernement, du Conseil régional et des personnes de bonne volonté, pour améliorer leurs conditions de vie en construisant un puits ou un forage.
Le sous-préfet de Timbé, Tapé Yves, a saisi cette opportunité pour signifier à l’ensemble des personnes présentes qu’il fera tout ce qui lui est humainement possible pour répercuter cet appel.
Le deuxième vice-président du Conseil régional du Hambol, Koné Katia, a promis de promis d’être le porte-parole des populations auprès du premier responsable du Conseil régional, afin que leurs préoccupations soient inscrites dans le programme triennal 2015-2017.
(AIP)
dg/kkf/kkp/tm
« Les habitants du village sont obligés de consommer, de se laver, de faire la vaisselle avec de l’eau souillée », a regretté le chef du village qui s’exprimait sur le problème crucial que vivent ses administrés, à savoir le manque d’eau potable.
« La pompe hydraulique est abîmée depuis plusieurs années. Le barrage construit depuis plus de 30 ans ne répond plus aux besoins de la population », a ajouté le chef du village lors de la cérémonie de pose de la première pierre du bâtiment de la cantine scolaire.
Selon le médecin-chef du centre de santé urbain de Timbé, Dr Cissé, les populations sont exposées aux maladies hydriques, à la fièvre typhoïde, à la gastro-entérite, à la dysenterie amibienne, aux vers et aux maladies liées à la dermatose (gale, éruption cutanée bactérienne, vers de Guinée, ulcère de Buruli).
Une visite guidée avec les autorités administratives, politiques et coutumières a permis de voir le barrage qui fournit cette eau impropre.
Le chef de Kafigué a lancé un cri de cœur à l’endroit du gouvernement, du Conseil régional et des personnes de bonne volonté, pour améliorer leurs conditions de vie en construisant un puits ou un forage.
Le sous-préfet de Timbé, Tapé Yves, a saisi cette opportunité pour signifier à l’ensemble des personnes présentes qu’il fera tout ce qui lui est humainement possible pour répercuter cet appel.
Le deuxième vice-président du Conseil régional du Hambol, Koné Katia, a promis de promis d’être le porte-parole des populations auprès du premier responsable du Conseil régional, afin que leurs préoccupations soient inscrites dans le programme triennal 2015-2017.
(AIP)
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