Abidjan - Des organisations de la société civile ivoirienne sollicitent leur représentation au sein du bureau central de la commission électorale indépendante (CEI) formé vendredi.
Il s’agit de la COFEMCI-REPC, la coordination des femmes pour les élections et la reconstruction post-crise, la COSOPCI, la coalition de la société civile pour la paix et le développement démocratique en Côte d’Ivoire, le FOSCAO-CI, le forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest–Côte d’Ivoire, le RAIDH, le regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains, le REPSFECO-CI, le réseau paix, sécurité pour les femmes dans l’espace CEDEAO/Côte d’Ivoire) et le WANEP – CI, le réseau ouest-africain pour l’édification de la paix.
Dans une déclaration commune dont copie est parvenue, jeudi, à l’AIP, ces organisations dénoncent la formation du « bureau central qui est dominé par les acteurs politiques », relevant qu’elles ont joué et continuent de jouer « un rôle important dans le développement de la Côte d’Ivoire et particulièrement dans le processus électoral ».
Selon elles, leur représentante au sein de la CEI qui est d’une « intégrité morale » sans faille et qui bénéficie de « l’expertise avérée », n’a pas boudé le processus du vote des membres du bureau.
Ces ONG recommandent aux membres de CEI de privilégier le dialogue et de renoncer à toutes formes d’attitude susceptibles de mettre à mal le processus électoral. Les partis politiques devront rechercher la solution « consensuelle » pour tout le processus électoral, estiment-elles.
Le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a été élu, vendredi dernier, par 12 des 17 membres de la CEI. Le scrutin s’est déroulé sans les représentants de l’alliance des forces démocratiques (AFD), du mouvement des forces d’avenir (MFA), du clergé catholique et de la société civile non confessionnelle. Ils ont dénoncé le manque du « consensus » pour désigner le bureau de la commission centrale de la CEI.
Le bureau de la CEI a tenu sa première réunion au cours de laquelle le président Bakayoko a promis organiser des scrutins apaisés selon les standards internationaux.
Il s’agit de la COFEMCI-REPC, la coordination des femmes pour les élections et la reconstruction post-crise, la COSOPCI, la coalition de la société civile pour la paix et le développement démocratique en Côte d’Ivoire, le FOSCAO-CI, le forum de la société civile de l’Afrique de l’Ouest–Côte d’Ivoire, le RAIDH, le regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains, le REPSFECO-CI, le réseau paix, sécurité pour les femmes dans l’espace CEDEAO/Côte d’Ivoire) et le WANEP – CI, le réseau ouest-africain pour l’édification de la paix.
Dans une déclaration commune dont copie est parvenue, jeudi, à l’AIP, ces organisations dénoncent la formation du « bureau central qui est dominé par les acteurs politiques », relevant qu’elles ont joué et continuent de jouer « un rôle important dans le développement de la Côte d’Ivoire et particulièrement dans le processus électoral ».
Selon elles, leur représentante au sein de la CEI qui est d’une « intégrité morale » sans faille et qui bénéficie de « l’expertise avérée », n’a pas boudé le processus du vote des membres du bureau.
Ces ONG recommandent aux membres de CEI de privilégier le dialogue et de renoncer à toutes formes d’attitude susceptibles de mettre à mal le processus électoral. Les partis politiques devront rechercher la solution « consensuelle » pour tout le processus électoral, estiment-elles.
Le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a été élu, vendredi dernier, par 12 des 17 membres de la CEI. Le scrutin s’est déroulé sans les représentants de l’alliance des forces démocratiques (AFD), du mouvement des forces d’avenir (MFA), du clergé catholique et de la société civile non confessionnelle. Ils ont dénoncé le manque du « consensus » pour désigner le bureau de la commission centrale de la CEI.
Le bureau de la CEI a tenu sa première réunion au cours de laquelle le président Bakayoko a promis organiser des scrutins apaisés selon les standards internationaux.