La coalition de la société civile ivoirienne déplore le ‘’ manque de consensus’’ dans la mise en place du bureau de la Commission électorale indépendante (Cei), dénonçant, dans un communiqué transmis, vendredi à APA, un bureau ‘’dominé par des acteurs politiques’’.
La coalition relève que l'élection des membres du bureau de la Cei censée être consensuelle ne l'a ‘'malheureusement'' pas été et s'interroge sur ‘'les causes de ce manque de consensus'', déplorant l'absence de ‘'sa représentante'' au sein du bureau central, ‘'dominé par les acteurs politiques''.
‘' La présence équilibrée des acteurs politiques et de la société civile aurait rehaussé davantage la crédibilité de cette institution'' souligne le document qui condamne avec fermeté ‘'le mépris de la classe politique à l'égard des organisations de la société civile qui ont joué et continuer de jouer un rôle important (…) dans le processus électoral''.
Renouvelant son ‘'soutien et appui'' à la représentante de la société civile non confessionnelle dans sa mission à la Cei, la coalition invite tous les acteurs du processus électoral à privilégier le ‘'dialogue'' et le ‘'consensus'', gage d'une élection ‘'apaisée''.
Jointe au téléphone par APA, Rachelle Gogoua, membre de la coalition de la Société civile et Présidente de la Coordination des Femmes pour les élections et la reconstructionpost crise, a indiqué que la « Société civile n'est pas favorable à la politique de la chaise vide », par conséquent, sa représentante « Marguerite Koné Yoli-Bi siègera lors des travaux de la Commission centrale de la CEI ».
Le vendredi 5 septembre, à l'élection du bureau de la Cei, cinq membres sur les 17, notamment les représentants de l'opposition proche de Laurent Gbagbo, du Mouvement des forces d'Avenir (MFA), de l'Eglise catholique et de la société civile ont claqué la porte estimant que le ‘'consensus n'était pas de mise''. Youssouf Bakayoko a été reconduit dans ses fonctions de président de la Commission électorale.
HS/ls/APA
La coalition relève que l'élection des membres du bureau de la Cei censée être consensuelle ne l'a ‘'malheureusement'' pas été et s'interroge sur ‘'les causes de ce manque de consensus'', déplorant l'absence de ‘'sa représentante'' au sein du bureau central, ‘'dominé par les acteurs politiques''.
‘' La présence équilibrée des acteurs politiques et de la société civile aurait rehaussé davantage la crédibilité de cette institution'' souligne le document qui condamne avec fermeté ‘'le mépris de la classe politique à l'égard des organisations de la société civile qui ont joué et continuer de jouer un rôle important (…) dans le processus électoral''.
Renouvelant son ‘'soutien et appui'' à la représentante de la société civile non confessionnelle dans sa mission à la Cei, la coalition invite tous les acteurs du processus électoral à privilégier le ‘'dialogue'' et le ‘'consensus'', gage d'une élection ‘'apaisée''.
Jointe au téléphone par APA, Rachelle Gogoua, membre de la coalition de la Société civile et Présidente de la Coordination des Femmes pour les élections et la reconstructionpost crise, a indiqué que la « Société civile n'est pas favorable à la politique de la chaise vide », par conséquent, sa représentante « Marguerite Koné Yoli-Bi siègera lors des travaux de la Commission centrale de la CEI ».
Le vendredi 5 septembre, à l'élection du bureau de la Cei, cinq membres sur les 17, notamment les représentants de l'opposition proche de Laurent Gbagbo, du Mouvement des forces d'Avenir (MFA), de l'Eglise catholique et de la société civile ont claqué la porte estimant que le ‘'consensus n'était pas de mise''. Youssouf Bakayoko a été reconduit dans ses fonctions de président de la Commission électorale.
HS/ls/APA