Bouaké - Le préfet de la région de Gbèkè et du département de Bouaké, Aka Konin, a invité jeudi tous les transporteurs à régulariser leur situation, les prévenant de mesures de répression qu’il envisage appliquer à partir du 1er octobre prochain, pour mettre fin au désordre qui règne dans le secteur des transports à Bouaké.
Lors d’une rencontre de sensibilisation, en collaboration avec la mairie de Bouaké, la direction régionale des Transports et les forces de police, le préfet de région a déploré les mauvais comportements des transporteurs et leurs conséquences parfois mortelles et exhorté les leaders syndicaux du secteur et les chefs de communautés à s’investir dans la sensibilisation.
"On trop joué avec la loi. C’est fini", a déclaré M. Aka Konin, souhaitant que Bouaké reprenne pleinement sa place de deuxième grande ville où la vie est agréable et où l’on ne sente aucun signe de la décennie de crise dans les habitudes des populations.
Le premier adjoint au maire, Ouattara Zoumana, adhérant à la lutte du préfet, a souligné qu’il faut interdire toutes ces pratiques illégales et dangereuses, parce que "la Côte d’Ivoire est trop sérieuse pour mériter ça", a-t-il fait savoir.
M. Ouattara Zoumana a annoncé publiquement qu’il refoulerait tous les récalcitrants qui viendraient le voir pour plaider leurs cas.
Le directeur régional des Transports, Sako Ibrahim et le chef de la station de la Société ivoirienne de contrôle automobile, Yéo Mamadou, ont indiqué aux transporteurs les voies à suivre pour régulariser leur situation.
Le président du syndicat national autonome pour la gestion du transport terrestre de Côte d’Ivoire juge normale la réaction des autorités et promet de transmettre le message à sa base.
Selon lui, la régularisation du secteur des transports est normale, mais cela aurait une incidence considérable sur le quotidien des populations.
Lors d’une rencontre de sensibilisation, en collaboration avec la mairie de Bouaké, la direction régionale des Transports et les forces de police, le préfet de région a déploré les mauvais comportements des transporteurs et leurs conséquences parfois mortelles et exhorté les leaders syndicaux du secteur et les chefs de communautés à s’investir dans la sensibilisation.
"On trop joué avec la loi. C’est fini", a déclaré M. Aka Konin, souhaitant que Bouaké reprenne pleinement sa place de deuxième grande ville où la vie est agréable et où l’on ne sente aucun signe de la décennie de crise dans les habitudes des populations.
Le premier adjoint au maire, Ouattara Zoumana, adhérant à la lutte du préfet, a souligné qu’il faut interdire toutes ces pratiques illégales et dangereuses, parce que "la Côte d’Ivoire est trop sérieuse pour mériter ça", a-t-il fait savoir.
M. Ouattara Zoumana a annoncé publiquement qu’il refoulerait tous les récalcitrants qui viendraient le voir pour plaider leurs cas.
Le directeur régional des Transports, Sako Ibrahim et le chef de la station de la Société ivoirienne de contrôle automobile, Yéo Mamadou, ont indiqué aux transporteurs les voies à suivre pour régulariser leur situation.
Le président du syndicat national autonome pour la gestion du transport terrestre de Côte d’Ivoire juge normale la réaction des autorités et promet de transmettre le message à sa base.
Selon lui, la régularisation du secteur des transports est normale, mais cela aurait une incidence considérable sur le quotidien des populations.
