Abidjan - La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) a sensibilisé vendredi à Abidjan, son personnel sur la maladie à virus Ebola, lors d’une conférence de presse.
Au cours de cette conférence, Dr Tétchi Mathilde, médecin de la santé publique à l’Institut d’hygiène, a expliqué que cette maladie qui est d’origine animale est apparue pour la première fois en 1976 au Soudan et au Congo et qu’elle compte cinq espèces distinctes : le virus Soudan, le virus Zaïre, le virus Côte d’Ivoire, le virus Bundibugyo, le virus Reston. Mais c’est en février 2014 en Guinée, à 150 km de la Côte d’Ivoire, que l’espèce ébolavirus Zaïre a été mise en évidence.
Il se transmet à l’homme après un contact étroit avec des secrétions, des liquides biologiques ou des organes d’animaux infectés ou morts tels que les chauves-souris, chimpanzés, gorilles, singes, antilopes, porcs-épics. La maladire se propage ensuite dans les communautés par transmission interhumaine, à la suite de contact direct (peau lésée ou muqueuse) avec du sang, des secrétions, des liquides biologiques de personnes infectées, ou par contact indirect par l’intermédiaire d’environnements contaminés par ce type de liquides.
Dr Tétchi a également fait savoir que le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à 7 semaines après la guérison clinique.
Quand à son collègue, Dr Obio Mathias, il a exhorté le personnel de la CNPS à l’application stricte des mesures de prévention prises par le gouvernement pour lutter contre ce virus, à savoir ne pas se serrer les mains, ne pas se faire des accolades, se laver les mains avec de l’eau et du savon, désinfecter la zone infectée par le malade avec une solution javellisée, incinérer toutes les affaires du malade, éviter de toucher le malade inutilement, avertir les médecins lorsqu’on a séjourné dans une zone ou sévit la maladie à virus Ebola ou en phase endémique car cette maladie n’a pas encore de remède.
Le seul remède qui existe traite uniquement les symptômes de la maladie, a-t-il indiqué.
Au cours de cette conférence, Dr Tétchi Mathilde, médecin de la santé publique à l’Institut d’hygiène, a expliqué que cette maladie qui est d’origine animale est apparue pour la première fois en 1976 au Soudan et au Congo et qu’elle compte cinq espèces distinctes : le virus Soudan, le virus Zaïre, le virus Côte d’Ivoire, le virus Bundibugyo, le virus Reston. Mais c’est en février 2014 en Guinée, à 150 km de la Côte d’Ivoire, que l’espèce ébolavirus Zaïre a été mise en évidence.
Il se transmet à l’homme après un contact étroit avec des secrétions, des liquides biologiques ou des organes d’animaux infectés ou morts tels que les chauves-souris, chimpanzés, gorilles, singes, antilopes, porcs-épics. La maladire se propage ensuite dans les communautés par transmission interhumaine, à la suite de contact direct (peau lésée ou muqueuse) avec du sang, des secrétions, des liquides biologiques de personnes infectées, ou par contact indirect par l’intermédiaire d’environnements contaminés par ce type de liquides.
Dr Tétchi a également fait savoir que le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à 7 semaines après la guérison clinique.
Quand à son collègue, Dr Obio Mathias, il a exhorté le personnel de la CNPS à l’application stricte des mesures de prévention prises par le gouvernement pour lutter contre ce virus, à savoir ne pas se serrer les mains, ne pas se faire des accolades, se laver les mains avec de l’eau et du savon, désinfecter la zone infectée par le malade avec une solution javellisée, incinérer toutes les affaires du malade, éviter de toucher le malade inutilement, avertir les médecins lorsqu’on a séjourné dans une zone ou sévit la maladie à virus Ebola ou en phase endémique car cette maladie n’a pas encore de remède.
Le seul remède qui existe traite uniquement les symptômes de la maladie, a-t-il indiqué.
