Abidjan– Le Plan d’organisation des secours (ORSEC) est un "mécanisme simple mais le plus efficace" pour une bonne gestion des catastrophes, grâce à un plan de secours préétabli, a expliqué, jeudi à Abidjan, le responsable du département de la prévention et de la protection des personnes de l’Office national de la protection civile (ONPC), le colonel Guego Kéké Adolphe.
"Le Plan ORSEC est la somme de procédures d’actions déployées selon l’ampleur des catastrophes, montant constamment en puissance. Il doit être un simple réflexe, celui d’un minimum d’organisation pour gérer tout cas de sinistre", a dit le colonel Kéké qui animait un atelier sur le Plan ORSEC à la faveur d’un séminaire consacré au déclenchement et à l’organisation dudit plan.
ORSEC est mis en œuvre et supervisé par le préfet au niveau départemental et par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité au plan national, a-t-il expliqué aux journalistes participants.
Il vise à organiser et à mettre en œuvre les mesures de prévention des risques et les moyens de secours que requièrent la protection des biens et de l’environnement contre les accidents, sinistres et catastrophes qu’ils soient d’origine naturelle, humaine ou technologique, fortuite ou volontaire.
Pendant deux jours, mercredi et jeudi, 20 journalistes ont renforcé leurs capacités sur le processus de déclenchement du Plan ORSEC et la gestion de l’information en matière de crise. Ils ont pris part à un exercice pratique d’initiation aux gestes élémentaires de secours.
"Ce séminaire devra faire de vous de véritables acteurs, de véritables ambassadeurs de la protection civile au service de nos populations", les avait instruits le ministre Hamed Bakayoko à l’ouverture des travaux.
Avec 103 agents, l’ONPC dispose de peu de moyens pour remplir sa mission. Toutefois, il a élaboré un plan de développement prévoyant l’installation de centres de secours dans chaque région.
Quelque 1.500 ex-combattants viennent d’achever leur formation pour intégrer le corps des pompiers civils.
La Côte d’Ivoire a un ratio d’un pompier pour 20.000 habitants contre un pour 600 en France et un pour 200 aux Etats-Unis d’Amérique.
aaa/kkp/kam
"Le Plan ORSEC est la somme de procédures d’actions déployées selon l’ampleur des catastrophes, montant constamment en puissance. Il doit être un simple réflexe, celui d’un minimum d’organisation pour gérer tout cas de sinistre", a dit le colonel Kéké qui animait un atelier sur le Plan ORSEC à la faveur d’un séminaire consacré au déclenchement et à l’organisation dudit plan.
ORSEC est mis en œuvre et supervisé par le préfet au niveau départemental et par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité au plan national, a-t-il expliqué aux journalistes participants.
Il vise à organiser et à mettre en œuvre les mesures de prévention des risques et les moyens de secours que requièrent la protection des biens et de l’environnement contre les accidents, sinistres et catastrophes qu’ils soient d’origine naturelle, humaine ou technologique, fortuite ou volontaire.
Pendant deux jours, mercredi et jeudi, 20 journalistes ont renforcé leurs capacités sur le processus de déclenchement du Plan ORSEC et la gestion de l’information en matière de crise. Ils ont pris part à un exercice pratique d’initiation aux gestes élémentaires de secours.
"Ce séminaire devra faire de vous de véritables acteurs, de véritables ambassadeurs de la protection civile au service de nos populations", les avait instruits le ministre Hamed Bakayoko à l’ouverture des travaux.
Avec 103 agents, l’ONPC dispose de peu de moyens pour remplir sa mission. Toutefois, il a élaboré un plan de développement prévoyant l’installation de centres de secours dans chaque région.
Quelque 1.500 ex-combattants viennent d’achever leur formation pour intégrer le corps des pompiers civils.
La Côte d’Ivoire a un ratio d’un pompier pour 20.000 habitants contre un pour 600 en France et un pour 200 aux Etats-Unis d’Amérique.
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