Grand-Bassam - La porte-parole du Parlement des enfants de Côte d’Ivoire, Koffi Grâce Emmanuelle, a dénoncé, à Grand-Bassam, le non-respect de leurs droits malgré les efforts du gouvernement.
Lors de la célébration de la 25ème journée internationale des droits de l’enfant jeudi, Koffi Grâce Emmanuelle a indiqué qu’en Côte d’Ivoire, des lois pour la protection et le bien-être des enfants sont votées, mais elles ne sont pas appliquées et respectées sur le terrain.
La présidente du Parlement des enfants a égrené les frustrations et violations de leurs droits, notamment les mariages précoces, les grossesses en milieu scolaire, l’analphabétisme, le travail des enfants consécutif à la pauvreté des parents, les mésaventures des enfants de rue souvent violés, enlevés et tués.
A la fin de son intervention, elle a demandé que ces lois en faveur des enfants soient appliquées sans combine et que tous ceux qui ne les respectent pas soient punis.
Mlle Koffi a également demandé qu’il soit créé un centre d’écoute pour permettre aux enfants de poser leurs problèmes, mais surtout qu’une loi soit votée pour interdire les punitions physiques et humiliantes à l’école, les centres d’accueil et sites où l’on s’occupe des enfants en Côte d’Ivoire.
La représentante de la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme de l’Enfant a, à son tour, interpellé tout le monde à conjuguer et à mettre ensemble les synergies pour la protection des enfants, car, a ajouté Mme Abotié Man Sylla, en dépit des efforts du gouvernement avec la ratification de la Convention de la Haye sur la protection et la coopération en matière d’adoption internationale, beaucoup reste à faire.
(AIP)
ko/sdaf/kp
Lors de la célébration de la 25ème journée internationale des droits de l’enfant jeudi, Koffi Grâce Emmanuelle a indiqué qu’en Côte d’Ivoire, des lois pour la protection et le bien-être des enfants sont votées, mais elles ne sont pas appliquées et respectées sur le terrain.
La présidente du Parlement des enfants a égrené les frustrations et violations de leurs droits, notamment les mariages précoces, les grossesses en milieu scolaire, l’analphabétisme, le travail des enfants consécutif à la pauvreté des parents, les mésaventures des enfants de rue souvent violés, enlevés et tués.
A la fin de son intervention, elle a demandé que ces lois en faveur des enfants soient appliquées sans combine et que tous ceux qui ne les respectent pas soient punis.
Mlle Koffi a également demandé qu’il soit créé un centre d’écoute pour permettre aux enfants de poser leurs problèmes, mais surtout qu’une loi soit votée pour interdire les punitions physiques et humiliantes à l’école, les centres d’accueil et sites où l’on s’occupe des enfants en Côte d’Ivoire.
La représentante de la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme de l’Enfant a, à son tour, interpellé tout le monde à conjuguer et à mettre ensemble les synergies pour la protection des enfants, car, a ajouté Mme Abotié Man Sylla, en dépit des efforts du gouvernement avec la ratification de la Convention de la Haye sur la protection et la coopération en matière d’adoption internationale, beaucoup reste à faire.
(AIP)
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