Défait par la Soa (2-4) et l’Asec (0-1), tenu en échec par Bouaké Fc (1-1), rien ne va au Séwé. Malgré tout, son coach jure que la crise n’est pas encore à sa porte.
Trois matchs de Ligue 1 sans victoire. Le Séwé est-il en crise?
Même si nous sommes devancés au classement, ceux qui ont pris des points auront la pression. Il ne faut pas qu’ils oublient de mettre le clignotant parce que nous allons passer. Nous ne sommes qu’à trois journées, rien n’est joué. Notre titre, nous comptons le garder. On ne peut pas renoncer au titre. Ce n’est pas la crise…
Les malheurs de votre équipe ne datent-ils pas de la finale ratée au Caire en Coupe de la Confédération contre Al Ahly?
Ce n’est pas seulement la finale perdue face à Al Ahly que nous n’avons pas digérer. Nous avons un manque criard de réussite devant les buts. Nous avons eu l’occasion de marquer sur penalty contre l’Asec. Mais nous n’avons pas su concrétiser cette aubaine justifiée. Et nous avons eu encore plusieurs occasions. Par contre, sur un fait banal, l’arbitre décide d’offrir un penalty à l’Asec. C’est un fait de jeu sur lequel nous ne reviendrons pas pour ce match qui démontre que nous avons vraiment du mal à nous relever de notre échec en Coupe d’Afrique, en plus de notre manque de réussite.
Comment comptez-vous rebondir ?
Nous avons travaillé psychologiquement nos joueurs pour leur permettre de reprendre du poil de la bête. Progressivement, nous allons revenir à notre meilleur niveau. Mais ce n’est pas facile vu que nous enchaînons les matchs sans véritable repos après notre campagne africaine.
Qu’en est-il des recrues annoncées en début de saison ?
Ce n’est pas que nos recrues ne sont pas prêtes. C’est qu’il y a des soucis administratifs. Nos recrues ne sont pas encore qualifiées. Aussi, nous voulons nous baser sur le bloc présent avant d’intégrer progressivement les nouveaux pour ne pas créer de cassure.
Trois matchs de Ligue 1 sans victoire. Le Séwé est-il en crise?
Même si nous sommes devancés au classement, ceux qui ont pris des points auront la pression. Il ne faut pas qu’ils oublient de mettre le clignotant parce que nous allons passer. Nous ne sommes qu’à trois journées, rien n’est joué. Notre titre, nous comptons le garder. On ne peut pas renoncer au titre. Ce n’est pas la crise…
Les malheurs de votre équipe ne datent-ils pas de la finale ratée au Caire en Coupe de la Confédération contre Al Ahly?
Ce n’est pas seulement la finale perdue face à Al Ahly que nous n’avons pas digérer. Nous avons un manque criard de réussite devant les buts. Nous avons eu l’occasion de marquer sur penalty contre l’Asec. Mais nous n’avons pas su concrétiser cette aubaine justifiée. Et nous avons eu encore plusieurs occasions. Par contre, sur un fait banal, l’arbitre décide d’offrir un penalty à l’Asec. C’est un fait de jeu sur lequel nous ne reviendrons pas pour ce match qui démontre que nous avons vraiment du mal à nous relever de notre échec en Coupe d’Afrique, en plus de notre manque de réussite.
Comment comptez-vous rebondir ?
Nous avons travaillé psychologiquement nos joueurs pour leur permettre de reprendre du poil de la bête. Progressivement, nous allons revenir à notre meilleur niveau. Mais ce n’est pas facile vu que nous enchaînons les matchs sans véritable repos après notre campagne africaine.
Qu’en est-il des recrues annoncées en début de saison ?
Ce n’est pas que nos recrues ne sont pas prêtes. C’est qu’il y a des soucis administratifs. Nos recrues ne sont pas encore qualifiées. Aussi, nous voulons nous baser sur le bloc présent avant d’intégrer progressivement les nouveaux pour ne pas créer de cassure.