En vacances à Abidjan pour quelques jours, Michel Soro, boxeur professionnel franco-ivoirien dans la catégorie Super Welters s’est confié à l’IA à sa descente d’avion le mercredi 11 mars 2015.
Etes- vous à Abidjan pour des projets de combats ?
Après mon dernier combat du 6 mars 2015 à Lyon, où j’ai battu Anderson Clayton par KO au deuxième round, j’ai décidé de prendre quelques jours de vacances à Abidjan, afin de me ressourcer en famille. Ces vacances seront meublées par des visites à la famille, aux amis et aussi d’entrainements.
Alors quand est-ce que les Ivoiriens vous verront sur un ring à Abidjan ? Surtout après le rendez-vous raté du 6 décembre 2013
Boxer en Côte d’Ivoire, c’est l’un des mes rêves. Le rendez-vous manqué du 6 décembre 2013 est à mettre à l’actif des aléas de la boxe. Il y a des combats qui sont prévus, au final on ne peut pas le faire parce qu’il y a des problèmes d’organisation. Cela arrive partout. En Côte d’Ivoire, en France et même aux Etats Unis, il y a des combats régulièrement annulés. Ce n’est pas un souci. J’attends qu’on se mette d’accord avec les autorités ivoiriennes.
Aujourd’hui vous êtes plus implanté aux Etats-Unis qu’en France. Pourquoi avoir choisi ce pays pour la suite de votre carrière ?
Le pays de la boxe, c’est les Etats-Unis. La France est un beau pays, elle aime bien la boxe, mais pas autant que les Etats-Unis. J’ai eu l’opportunité de rencontrer un promoteur et je l’ai saisie. Je boxe aux Etats-Unis et en France. D’ailleurs mon dernier combat s’est fait en France.
Vous vous êtes lancé dans un challenge américain, alors quel est l’objectif ?
Je ne me suis pas vraiment lancé dans un challenge américain. Dans mon esprit, faire des combats aux Etats-Unis, en France ou en Côte D’Ivoire c’est pareil. Mon but, est d’être champion du monde. Les méthodes d’entrainements aux Etats-Unis sont différentes de celles de la France. Peu importe le lieu d’entrainement, mon but c’est d’être champion du monde.
La boxe ivoirienne connaît une crise depuis quelque temps. Avez-vous de l’amertume de savoir qu’il n’y plus de compétition au niveau local?
J’ai entendu dire qu’il y avait quelques petits soucis au niveau de la fédération. C’est apparemment réglé et je pense que les choses vont redémarrer avec le président Waby.
A quelles conditions le noble art pourrait-il retrouver son lustre d’autant?
Il faut habituer la population à voir de plus en plus de combats de boxe. Comme l’a commencé le président Waby. Il faut qu’il continue sur sa lancée. Ensuite, organiser de beaux combats.
Allez-vous faire un geste à l’endroit de la fédération, qui a vu tout son materiel pillé à la faveur de la crise?
Je pense le faire mais pas maintenant. Parce que j’ai des choses à régler en famille. Je reviendrai en mai où juin, là je promets ramener des équipements sportifs à la fédération.
Réalisé par Ange K
Etes- vous à Abidjan pour des projets de combats ?
Après mon dernier combat du 6 mars 2015 à Lyon, où j’ai battu Anderson Clayton par KO au deuxième round, j’ai décidé de prendre quelques jours de vacances à Abidjan, afin de me ressourcer en famille. Ces vacances seront meublées par des visites à la famille, aux amis et aussi d’entrainements.
Alors quand est-ce que les Ivoiriens vous verront sur un ring à Abidjan ? Surtout après le rendez-vous raté du 6 décembre 2013
Boxer en Côte d’Ivoire, c’est l’un des mes rêves. Le rendez-vous manqué du 6 décembre 2013 est à mettre à l’actif des aléas de la boxe. Il y a des combats qui sont prévus, au final on ne peut pas le faire parce qu’il y a des problèmes d’organisation. Cela arrive partout. En Côte d’Ivoire, en France et même aux Etats Unis, il y a des combats régulièrement annulés. Ce n’est pas un souci. J’attends qu’on se mette d’accord avec les autorités ivoiriennes.
Aujourd’hui vous êtes plus implanté aux Etats-Unis qu’en France. Pourquoi avoir choisi ce pays pour la suite de votre carrière ?
Le pays de la boxe, c’est les Etats-Unis. La France est un beau pays, elle aime bien la boxe, mais pas autant que les Etats-Unis. J’ai eu l’opportunité de rencontrer un promoteur et je l’ai saisie. Je boxe aux Etats-Unis et en France. D’ailleurs mon dernier combat s’est fait en France.
Vous vous êtes lancé dans un challenge américain, alors quel est l’objectif ?
Je ne me suis pas vraiment lancé dans un challenge américain. Dans mon esprit, faire des combats aux Etats-Unis, en France ou en Côte D’Ivoire c’est pareil. Mon but, est d’être champion du monde. Les méthodes d’entrainements aux Etats-Unis sont différentes de celles de la France. Peu importe le lieu d’entrainement, mon but c’est d’être champion du monde.
La boxe ivoirienne connaît une crise depuis quelque temps. Avez-vous de l’amertume de savoir qu’il n’y plus de compétition au niveau local?
J’ai entendu dire qu’il y avait quelques petits soucis au niveau de la fédération. C’est apparemment réglé et je pense que les choses vont redémarrer avec le président Waby.
A quelles conditions le noble art pourrait-il retrouver son lustre d’autant?
Il faut habituer la population à voir de plus en plus de combats de boxe. Comme l’a commencé le président Waby. Il faut qu’il continue sur sa lancée. Ensuite, organiser de beaux combats.
Allez-vous faire un geste à l’endroit de la fédération, qui a vu tout son materiel pillé à la faveur de la crise?
Je pense le faire mais pas maintenant. Parce que j’ai des choses à régler en famille. Je reviendrai en mai où juin, là je promets ramener des équipements sportifs à la fédération.
Réalisé par Ange K