Les acteurs du noble art se déchirent à nouveau. Par le passé opposés aux décisions du Comité national olympique (Cno-Civ), deux fidèles lieutenants , Bakary Kambega, 1er vice-président et Rabet Anthony, secrétaire général, de Waby Spider ont décidé de s’opposer à lui. Waby Spider est donc désormais seul contre tous dans son combat de renaissance de la boxe ivoirienne.
Un autre chapitre de la crise au niveau de la Fédération Ivoirienne de Boxe (FIB) vient de s’ouvrir. Il s’agit du conflit au sein du comité directeur de la FIB, qui a vu deux des membres actifs du comité présidé par Waby Spider, à savoir Bakary Kambega, 1er vice-président et Rabet Anthony, secrétaire général se désolidariser des actions de ce dernier. Bakary Kambega, 1er vice-président prétend tenir les rênes de la Fib, au regard de l’absence constatée du président élu et de son refus de rendre le tablier. Bakary Kambega entend relancer les activités et réconcilier la boxe avec l’ensemble des acteurs et les institutions. Pour ce faire, il dit être en contact avec le Cno-Civ afin de régler définitivement la question de la reconnaissance l’internationale (AIBA). « Il refuse la main tendue du Comité National Olympique et refuse de s’aligner sur les décisions de l’Aiba. La boxe ne peut continuer de se faire en local, les boxeurs ont besoin de compétitions internationales pour évoluer. Si nous sommes bloqués, c’est la faute à Waby Spider qui gagnerait à mettre de l’eau dans son vin pour aller au dialogue puis aux élections. Mais il refuse toute proposition », a soutenu Rabet Anthony. Pour lui, ils n’ont pas le pouvoir de démettre Waby Spider de la présidence, d’autant plus qu’ils ont été élu au même titre que lui en janvier 2013. Seuls les clubs ont ce pouvoir. Pour ce faire, une assemblée générale se tiendra le samedi 21 mars 2015 au siège de la FIB au Parc des Sports de Treichville. « Nous n’avons pas les moyens d’annoncer une quelconque action qui ferait partir Waby Spider. Ce sont les clubs qui l’ont élu, ce sont les clubs qui décident, ils devront analyser la situation et prendre leur responsabilité», a-t-il annoncé. Une assemblée à laquelle le président élu n’a pas été convié. En somme, le président Waby Spider, avec la perte de ses deux lieutenants fidèles (les plus actifs au sein du comité directeur) semble être seul désormais dans son combat contre le Cno-Civ.
Waby toujours à la barre pour son combat de renaissance
Malgré la défection de ces hommes de main, le président de la FIB, Waby Spider peut toujours s’appuyer sur d’autres membres du comité directeur, toujours à ses côtés, notamment Coulibaly Mamadou, Dourey Noël, Fané Abou, le Commissaire Kangah Kouaho Casimir et Silué Kagnon Augustin. « Le comité directeur est composé de plusieurs membres. Je suis seul parce que deux d’entre eux ont décidé de partir », dira Waby Spider. Qui entend pallier l’absence de ses deux départs en nommant deux autres membres au sein du comité-directeur. Soutenu par le ministère des Sports, Waby Spider reprendra dans les jours à venir son bâton de pèlerin pour la reprise des activités.
Ange K
Un autre chapitre de la crise au niveau de la Fédération Ivoirienne de Boxe (FIB) vient de s’ouvrir. Il s’agit du conflit au sein du comité directeur de la FIB, qui a vu deux des membres actifs du comité présidé par Waby Spider, à savoir Bakary Kambega, 1er vice-président et Rabet Anthony, secrétaire général se désolidariser des actions de ce dernier. Bakary Kambega, 1er vice-président prétend tenir les rênes de la Fib, au regard de l’absence constatée du président élu et de son refus de rendre le tablier. Bakary Kambega entend relancer les activités et réconcilier la boxe avec l’ensemble des acteurs et les institutions. Pour ce faire, il dit être en contact avec le Cno-Civ afin de régler définitivement la question de la reconnaissance l’internationale (AIBA). « Il refuse la main tendue du Comité National Olympique et refuse de s’aligner sur les décisions de l’Aiba. La boxe ne peut continuer de se faire en local, les boxeurs ont besoin de compétitions internationales pour évoluer. Si nous sommes bloqués, c’est la faute à Waby Spider qui gagnerait à mettre de l’eau dans son vin pour aller au dialogue puis aux élections. Mais il refuse toute proposition », a soutenu Rabet Anthony. Pour lui, ils n’ont pas le pouvoir de démettre Waby Spider de la présidence, d’autant plus qu’ils ont été élu au même titre que lui en janvier 2013. Seuls les clubs ont ce pouvoir. Pour ce faire, une assemblée générale se tiendra le samedi 21 mars 2015 au siège de la FIB au Parc des Sports de Treichville. « Nous n’avons pas les moyens d’annoncer une quelconque action qui ferait partir Waby Spider. Ce sont les clubs qui l’ont élu, ce sont les clubs qui décident, ils devront analyser la situation et prendre leur responsabilité», a-t-il annoncé. Une assemblée à laquelle le président élu n’a pas été convié. En somme, le président Waby Spider, avec la perte de ses deux lieutenants fidèles (les plus actifs au sein du comité directeur) semble être seul désormais dans son combat contre le Cno-Civ.
Waby toujours à la barre pour son combat de renaissance
Malgré la défection de ces hommes de main, le président de la FIB, Waby Spider peut toujours s’appuyer sur d’autres membres du comité directeur, toujours à ses côtés, notamment Coulibaly Mamadou, Dourey Noël, Fané Abou, le Commissaire Kangah Kouaho Casimir et Silué Kagnon Augustin. « Le comité directeur est composé de plusieurs membres. Je suis seul parce que deux d’entre eux ont décidé de partir », dira Waby Spider. Qui entend pallier l’absence de ses deux départs en nommant deux autres membres au sein du comité-directeur. Soutenu par le ministère des Sports, Waby Spider reprendra dans les jours à venir son bâton de pèlerin pour la reprise des activités.
Ange K
