Oumé - Les femmes du département d’Oumé ont réfléchi sur leurs conditions de vie, tout en proposant des actions concrètes pour lutter contre les inégalités dans le cadre des consultations sur le genre en côte d’Ivoire.
Au terme d’un atelier organisé, jeudi, par l’ONG « Africa women’s place in the society’’ ces femmes ont souhaité, entre autres, le respect de la parité de 30% de taux de représentativité des femmes dans la société, la construction d’écoles avec des foyers et des internats pour femmes destinés à la création d’activités génératrices de revenus.
Plusieurs problématiques ont été abordées par les femmes, à savoir comment faire et que faire pour que les progrès notables réalisés sur les plans réglementaires, législatifs en matière d’égalité des sexes et d’autonomisation des femmes soient traduits en changements qualitatifs proportionnels dans la vie des femmes.
Mais également comment faire pour que les traditions, les pratiques socioculturelles ne constituent pas un frein à une grande implication des femmes dans la vie économique sociale et politique du pays.
Les participants à cet atelier que sont les présidentes d’associations rurales ou urbaines, les ONG, les jeunes filles scolarisées, les diplômées ou non, ont travaillé en quatre sous-commissions sur les thèmes portant sur le leadership de la femme africaine, espace économique, le pari de l’autonomisation de la femme, violences contre la femme.
L’ONG « Africa women’s place in the society » aura un atelier de présentation de la synthèse générale en décembre prochain, a dit le coordonnateur M. Babo Godji Nicodème.
(AIP)
dl/kkf/akn/ask
Au terme d’un atelier organisé, jeudi, par l’ONG « Africa women’s place in the society’’ ces femmes ont souhaité, entre autres, le respect de la parité de 30% de taux de représentativité des femmes dans la société, la construction d’écoles avec des foyers et des internats pour femmes destinés à la création d’activités génératrices de revenus.
Plusieurs problématiques ont été abordées par les femmes, à savoir comment faire et que faire pour que les progrès notables réalisés sur les plans réglementaires, législatifs en matière d’égalité des sexes et d’autonomisation des femmes soient traduits en changements qualitatifs proportionnels dans la vie des femmes.
Mais également comment faire pour que les traditions, les pratiques socioculturelles ne constituent pas un frein à une grande implication des femmes dans la vie économique sociale et politique du pays.
Les participants à cet atelier que sont les présidentes d’associations rurales ou urbaines, les ONG, les jeunes filles scolarisées, les diplômées ou non, ont travaillé en quatre sous-commissions sur les thèmes portant sur le leadership de la femme africaine, espace économique, le pari de l’autonomisation de la femme, violences contre la femme.
L’ONG « Africa women’s place in the society » aura un atelier de présentation de la synthèse générale en décembre prochain, a dit le coordonnateur M. Babo Godji Nicodème.
(AIP)
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