Le judoka français, septuple champion du monde et champion olympique, Teddy Riner, a épaté le public ivoirien, vendredi, à Abidjan, au cours d’une conférence.
« Oser se dépasser », c’est sous ce thème de la structure « se former autrement » que Teddy Riner, est intervenu, à l’espace Event Latrille des II Plateaux, le vendredi 10 avril 2015. Et ce, devant un parterre d’invités dont des judokas. Il n’y avait pas de combats et de démonstrations au programme pour ce rendez-vous…Le conférencier et pour être plus précis, le pédagogue, a donné un cours en s’appuyant sur son expérience, son vécu, ses échecs et succès.
Teddy Riner comme un humoriste sur scène, a parlé des solutions pédagogiques. Une « histoire d’oser », car dans la vie, a-t-il fait savoir, tout part de l’envie…Et cette envie permet de travailler dur pour atteindre son objectif et réaliser son rêve. « Ne jamais rien lâcher, se dire qu’au bout des efforts, il y a la récompense », conseille-t-il. Teddy Riner a révélé que dès l’âge de six ans, il pratiquait au moins dix disciplines sportives dont la natation et le judo. « Mes parents n’ont rien décidé pour moi, mais ils m’ont mis dans les conditions pour faire ce dont j’avais envie. C’est très important », indique-t-il. Les défaites, souligne Teddy, permettent de se remettre en cause pour revenir plus fort. « En 2008 aux JO, j’ai été battu mais je n’ai pas baissé les bras. Avec mon entraîneur avec qui je passe plus de temps, j’ai intensifié les séances d’entraînement. Aujourd’hui, tous les titres que j’ai remportés, sont en grande partie, dus au travail abattu après des échecs. J’ai toujours voulu faire plus, battre des records sans faire du mal à autrui », avoue-t-il. Toujours oser, c’est la devise de Teddy Riner. Répondant aux questions des invités, comme prévu, pour cette conférence, il a donné la recette pour allier travail-famille: « Déjà, lorsqu’une personne assure les besoins de la famille, c’est l’essentiel. Mais il faut avoir un temps pour la famille. Le temps, c’est très important, ne pas remettre à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui, parce que le temps n’attend pas. Au judo, des années d’entraînement, s’écroulent en quelques secondes lors du combat qui ne dure que 5 minutes. C’est pourquoi, il ne faut rien négliger ». Sa plus grande satisfaction, c’est l’admiration qu’il suscite lorsqu’il gagne. Mais Teddy Riner déteste les tricheurs, surtout les athlètes qui se dopent. « C’est dégoûtant, lorsque je vois des gens avouer et demander pardonner. C’est lâche de leur part. Tout ce qu’on fait de mauvais, se paie. Parce que là-haut, il y a Dieu. C’est pourquoi, il faut avancer sans faire de mal à autrui, c’est ma règle », conseille-t-il. Agé de 26 ans, Teddy Riner, a véritablement séduit le public, pour sa toute première conférence à Abidjan. Mais avant, Bamba Cheick Daniel, représentant le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur, a remercié le judoka français pour avoir accepté l’invitation des Ivoiriens. « Je souhaite que vous veniez en aide à la fédération ivoirienne de judo », a-t-il plaidé. Arrivé le jeudi 10 avril, Teddy Riner est reparti le vendredi 10 avril, tout juste après la fin de la conférence.
Annoncia Sehoué
« Oser se dépasser », c’est sous ce thème de la structure « se former autrement » que Teddy Riner, est intervenu, à l’espace Event Latrille des II Plateaux, le vendredi 10 avril 2015. Et ce, devant un parterre d’invités dont des judokas. Il n’y avait pas de combats et de démonstrations au programme pour ce rendez-vous…Le conférencier et pour être plus précis, le pédagogue, a donné un cours en s’appuyant sur son expérience, son vécu, ses échecs et succès.
Teddy Riner comme un humoriste sur scène, a parlé des solutions pédagogiques. Une « histoire d’oser », car dans la vie, a-t-il fait savoir, tout part de l’envie…Et cette envie permet de travailler dur pour atteindre son objectif et réaliser son rêve. « Ne jamais rien lâcher, se dire qu’au bout des efforts, il y a la récompense », conseille-t-il. Teddy Riner a révélé que dès l’âge de six ans, il pratiquait au moins dix disciplines sportives dont la natation et le judo. « Mes parents n’ont rien décidé pour moi, mais ils m’ont mis dans les conditions pour faire ce dont j’avais envie. C’est très important », indique-t-il. Les défaites, souligne Teddy, permettent de se remettre en cause pour revenir plus fort. « En 2008 aux JO, j’ai été battu mais je n’ai pas baissé les bras. Avec mon entraîneur avec qui je passe plus de temps, j’ai intensifié les séances d’entraînement. Aujourd’hui, tous les titres que j’ai remportés, sont en grande partie, dus au travail abattu après des échecs. J’ai toujours voulu faire plus, battre des records sans faire du mal à autrui », avoue-t-il. Toujours oser, c’est la devise de Teddy Riner. Répondant aux questions des invités, comme prévu, pour cette conférence, il a donné la recette pour allier travail-famille: « Déjà, lorsqu’une personne assure les besoins de la famille, c’est l’essentiel. Mais il faut avoir un temps pour la famille. Le temps, c’est très important, ne pas remettre à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui, parce que le temps n’attend pas. Au judo, des années d’entraînement, s’écroulent en quelques secondes lors du combat qui ne dure que 5 minutes. C’est pourquoi, il ne faut rien négliger ». Sa plus grande satisfaction, c’est l’admiration qu’il suscite lorsqu’il gagne. Mais Teddy Riner déteste les tricheurs, surtout les athlètes qui se dopent. « C’est dégoûtant, lorsque je vois des gens avouer et demander pardonner. C’est lâche de leur part. Tout ce qu’on fait de mauvais, se paie. Parce que là-haut, il y a Dieu. C’est pourquoi, il faut avancer sans faire de mal à autrui, c’est ma règle », conseille-t-il. Agé de 26 ans, Teddy Riner, a véritablement séduit le public, pour sa toute première conférence à Abidjan. Mais avant, Bamba Cheick Daniel, représentant le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur, a remercié le judoka français pour avoir accepté l’invitation des Ivoiriens. « Je souhaite que vous veniez en aide à la fédération ivoirienne de judo », a-t-il plaidé. Arrivé le jeudi 10 avril, Teddy Riner est reparti le vendredi 10 avril, tout juste après la fin de la conférence.
Annoncia Sehoué