« Les judokas ivoiriens participeront à la 36e édition du Championnat d’Afrique seniors, prévue à Libreville au Gabon du 24 au 26 avril 2015. Avant leur voyage prévu ce mardi 21 Avril 2015, le capitaine des Eléphants, Kotcha Aspa Ange s’est confié à «Le Sursaut ».
Comment avez-vous préparé ce championnat d'Afrique de judo au Gabon?
Ce n’était pas facile, mais, je voudrais dire un grand merci au président de la Fédération ivoirienne de judo et disciplines assimilées (Fijda), Isaac Angbo qui s’est battu pour que tout se passe dans de bonnes conditions. Nous avons fait avec le peu que le ministère des sports nous a donné. Pour la préparation, nous avons eu deux grands experts du judo français avec qui nous avons passé un mois ensemble pour une bonne préparation. Nous avons appris beaucoup au niveau de certaines techniques. Et nous pensons que nous pourrons surprendre à Libreville.
Quel est l'état d'esprit du groupe avant le voyage?
Tout va bien. Nous avons eu une bonne préparation avec l'équipe. Nous allons nous battre et donner le meilleur de nous-même à ce championnat. Je pense bien que nous allons au championnat, tous avec le cœur et le courage. Nous sommes 11 Eléphants Judokas, composés de 9 hommes et deux dames.
Quelles sont vos chances pour ramener des médailles au pays?
Tout le monde peut rapporter des médailles, car nous avons à cœur de représenter valablement le pays. Et l'esprit du groupe est bien. Les Éléphants judokas sont gonflés à bloc. Chaque athlète voudrait rentrer au pays avec au moins une médaille à son cou. Personnellement, je pense être prêt. En 2014, j'avais été 5e africain. Cette année, je pense faire plus.
Comment voyez-vous l'avenir du judo Ivoirien?
L’avenir est radieux avec le travail que le président Isaac Angbo fait, je pense que bientôt le judo ivoirien sera reconnu dans le monde entier. On parlera de la Côte d’Ivoire comme une nation de judo.
Que retenez-vous du passage en Côte d'Ivoire de Teddy Riner, judoka français et septuple champion du monde ?
Tout s’est bien passé avec l'entretien que nous avons eu avec lui. Il nous a prodigué de sages conseils. Son passage a été enrichissant pour le judo ivoirien en particulier et pour le sport en général.
Avant ce championnat, tous vos besoins ont-ils été pris en compte?
Oui, nous allons faire avec ce que le ministère des sports nous a donné. Je remercie aussi le ministère des sports Alain Lobognon pour son soutien et toute la Côte d’Ivoire qui compte sur nous. Et aussi notre président Isaac Angbo qui se bat toujours pour nous. On pense ramener des médailles au pays pour la paix et la réconciliation des ivoiriens. Les Eléphants footballeurs ont déjà fait leur part. Nous aussi, Eléphants judokas, nous avons envie d’honorer le drapeau ivoirien dans le ciel de Libreville
Réalisé par Constant Tobo
Comment avez-vous préparé ce championnat d'Afrique de judo au Gabon?
Ce n’était pas facile, mais, je voudrais dire un grand merci au président de la Fédération ivoirienne de judo et disciplines assimilées (Fijda), Isaac Angbo qui s’est battu pour que tout se passe dans de bonnes conditions. Nous avons fait avec le peu que le ministère des sports nous a donné. Pour la préparation, nous avons eu deux grands experts du judo français avec qui nous avons passé un mois ensemble pour une bonne préparation. Nous avons appris beaucoup au niveau de certaines techniques. Et nous pensons que nous pourrons surprendre à Libreville.
Quel est l'état d'esprit du groupe avant le voyage?
Tout va bien. Nous avons eu une bonne préparation avec l'équipe. Nous allons nous battre et donner le meilleur de nous-même à ce championnat. Je pense bien que nous allons au championnat, tous avec le cœur et le courage. Nous sommes 11 Eléphants Judokas, composés de 9 hommes et deux dames.
Quelles sont vos chances pour ramener des médailles au pays?
Tout le monde peut rapporter des médailles, car nous avons à cœur de représenter valablement le pays. Et l'esprit du groupe est bien. Les Éléphants judokas sont gonflés à bloc. Chaque athlète voudrait rentrer au pays avec au moins une médaille à son cou. Personnellement, je pense être prêt. En 2014, j'avais été 5e africain. Cette année, je pense faire plus.
Comment voyez-vous l'avenir du judo Ivoirien?
L’avenir est radieux avec le travail que le président Isaac Angbo fait, je pense que bientôt le judo ivoirien sera reconnu dans le monde entier. On parlera de la Côte d’Ivoire comme une nation de judo.
Que retenez-vous du passage en Côte d'Ivoire de Teddy Riner, judoka français et septuple champion du monde ?
Tout s’est bien passé avec l'entretien que nous avons eu avec lui. Il nous a prodigué de sages conseils. Son passage a été enrichissant pour le judo ivoirien en particulier et pour le sport en général.
Avant ce championnat, tous vos besoins ont-ils été pris en compte?
Oui, nous allons faire avec ce que le ministère des sports nous a donné. Je remercie aussi le ministère des sports Alain Lobognon pour son soutien et toute la Côte d’Ivoire qui compte sur nous. Et aussi notre président Isaac Angbo qui se bat toujours pour nous. On pense ramener des médailles au pays pour la paix et la réconciliation des ivoiriens. Les Eléphants footballeurs ont déjà fait leur part. Nous aussi, Eléphants judokas, nous avons envie d’honorer le drapeau ivoirien dans le ciel de Libreville
Réalisé par Constant Tobo
