En prélude aux Journées Nationales du Secrétariat et de l’Assistanat (JNSA) 2015, qui se tiendront du 17 au 19 juin 2015 à l’Hôtel Palm Club à Cocody, Marie-Fleur N’Da-N’Dry, directrice générale de Midi-Presse, initiatrice du projet a déballé le contenu de ces journées.
« Quel secrétaire pour une Côte d’Ivoire émergente ?», tel est le thème de la première édition des Journées Nationales du Secrétariat et de l’Assistanat prévues du 17 au 19 juin 2015.
Pour Marie-Fleur N’Da, initiatrice du projet, le constat de la mauvaise appréhension du métier serait à l’origine de son initiative. « J’ai eu la chance durant mon expérience professionnelle de travailler dans plusieurs domaines ici et à l’extérieur. Cela m’a permis de comparer le métier ici et ailleurs. J’en déduis une énorme différence », a-t-elle expliqué. Avant d’ajouter qu’en Côte d’Ivoire, le métier est méconnu. Pour elle, ces journées permettront de mieux faire connaitre le corps de métier et lui offrir une forte tribune institutionnelle de promotion. Car les JNSA se dérouleront désormais chaque année à la même date. « C’est dans cette optique que le magazine ‘’Secrétaire’’ est mis sur pied, pour apporter un plus au métier », a précisé l’initiatrice.
Les JNSA 2015, placées sous le parrainage et la présence effective du ministre de la Formation professionnelle Moussa Dosso, vise la formation des secrétaires. « L’objectif est de former les secrétaires dans trois domaines importants (NTIC, savoir-vivre et Anglais). Car, un secrétaire mal formé, c’est l’entreprise qui perd son chiffre d’affaires. Et dans ce cas, c’est l’économie du pays qui prend un coup », a-t-elle justifié.
Comme cibles, Marie Fleur N’Da entend recevoir principalement les secrétaires en fonction et ceux encore en formation. Au-delà, elle vise tous ceux qui aspirent au métier, qui sont en stage, en quête d’emploi, les directeurs d’entreprises, les lycées professionnels, les grandes écoles, les écoles de formation continue, les cabinets de recrutement, de placement et le grand public.
Pour l’initiatrice, un secrétaire à l’horizon 2020, doit être une personne avec un brin de savoir-vivre et une notion en Anglais. « On ne peut pas être secrétaire aujourd’hui et rester encore dans le système des machines mécaniques. Nous sommes à l’ère du numérique, elle doit pouvoir manipuler la tablette, maîtriser les logiciels qui sont créés pour faciliter le travail, les prises de rendez-vous et autres », a souligné Marie-Fleur N’Da.
Pour ce qui est du programme, notons que les JNSA 2015 offriront trois jours de formation, des ateliers, des stands, des expositions, des témoignages d’anciennes secrétaires, des offres d’emplois, l’apprentissage, un système de parrainage et un coaching pour les étudiants. Il y aura également une conférence sur le thème « Comment un secrétaire peut-il contribuer à l’émergence d’un pays ? », et un vernissage dont les tableaux tourneront autour du thème des journées.
« Je demande aux patrons de permettre à leurs secrétaires de venir se former, même de leur offrir ces formations parce que c’est aussi pour le bien de leurs entreprises et de leurs propres personnes, parce que quand un secrétaire est bien formé, ça allège le travail du patron et ça lui permet de se concentrer sur les affaires importantes de l’entreprise. Je demande aux secrétaires de s’inscrire et de venir massivement pour se former », a conclu l’initiatrice.
R-O
« Quel secrétaire pour une Côte d’Ivoire émergente ?», tel est le thème de la première édition des Journées Nationales du Secrétariat et de l’Assistanat prévues du 17 au 19 juin 2015.
Pour Marie-Fleur N’Da, initiatrice du projet, le constat de la mauvaise appréhension du métier serait à l’origine de son initiative. « J’ai eu la chance durant mon expérience professionnelle de travailler dans plusieurs domaines ici et à l’extérieur. Cela m’a permis de comparer le métier ici et ailleurs. J’en déduis une énorme différence », a-t-elle expliqué. Avant d’ajouter qu’en Côte d’Ivoire, le métier est méconnu. Pour elle, ces journées permettront de mieux faire connaitre le corps de métier et lui offrir une forte tribune institutionnelle de promotion. Car les JNSA se dérouleront désormais chaque année à la même date. « C’est dans cette optique que le magazine ‘’Secrétaire’’ est mis sur pied, pour apporter un plus au métier », a précisé l’initiatrice.
Les JNSA 2015, placées sous le parrainage et la présence effective du ministre de la Formation professionnelle Moussa Dosso, vise la formation des secrétaires. « L’objectif est de former les secrétaires dans trois domaines importants (NTIC, savoir-vivre et Anglais). Car, un secrétaire mal formé, c’est l’entreprise qui perd son chiffre d’affaires. Et dans ce cas, c’est l’économie du pays qui prend un coup », a-t-elle justifié.
Comme cibles, Marie Fleur N’Da entend recevoir principalement les secrétaires en fonction et ceux encore en formation. Au-delà, elle vise tous ceux qui aspirent au métier, qui sont en stage, en quête d’emploi, les directeurs d’entreprises, les lycées professionnels, les grandes écoles, les écoles de formation continue, les cabinets de recrutement, de placement et le grand public.
Pour l’initiatrice, un secrétaire à l’horizon 2020, doit être une personne avec un brin de savoir-vivre et une notion en Anglais. « On ne peut pas être secrétaire aujourd’hui et rester encore dans le système des machines mécaniques. Nous sommes à l’ère du numérique, elle doit pouvoir manipuler la tablette, maîtriser les logiciels qui sont créés pour faciliter le travail, les prises de rendez-vous et autres », a souligné Marie-Fleur N’Da.
Pour ce qui est du programme, notons que les JNSA 2015 offriront trois jours de formation, des ateliers, des stands, des expositions, des témoignages d’anciennes secrétaires, des offres d’emplois, l’apprentissage, un système de parrainage et un coaching pour les étudiants. Il y aura également une conférence sur le thème « Comment un secrétaire peut-il contribuer à l’émergence d’un pays ? », et un vernissage dont les tableaux tourneront autour du thème des journées.
« Je demande aux patrons de permettre à leurs secrétaires de venir se former, même de leur offrir ces formations parce que c’est aussi pour le bien de leurs entreprises et de leurs propres personnes, parce que quand un secrétaire est bien formé, ça allège le travail du patron et ça lui permet de se concentrer sur les affaires importantes de l’entreprise. Je demande aux secrétaires de s’inscrire et de venir massivement pour se former », a conclu l’initiatrice.
R-O