Abidjan – La Force française en Côte d’Ivoire (FFCI), ex-Force Licorne, a honoré de différentes médailles d’honneur du travail 12 des 215 agents de son personnel civil ivoirien, mercredi, sur sa base militaire de Port-Bouët à Abidjan.
Mme Ballo épouse Sidibé Djébéna, secrétaire au service des essences, qui y travaille depuis l’installation de la base du 43ème Bataillon d’infanterie marine (BIMA), en 1978, a reçu la médaille Grand-Or après 35 ans d’ancienneté tandis que Nou-Kouadio Koim Justin, mécanicien au service maintenance, se voyait décerner la médaille Or après 30 ans de service par le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, Koné Kipeya.
Dix autres agents totalisant plus de 15 ans de service ont reçu la médaille de travail d’Argent en présence du commandant de la FFCI, le colonel Ludovic Pinon.
"Cette cérémonie est une opportunité pour marquer un point d’honneur à la valorisation du mérite de la force laborieuse parce qu’il n’y a de richesse que d’homme", a déclaré le représentant du ministre de l’Emploi, Dosso Moussa.
Koné Kipéya a salué et félicité l’heureuse initiative du commandant de la FFCI et la qualité des relations du couple franco-ivoirien.
La médaillée Grand-Or du travail, Mme Ballo, a traduit les sentiments de satisfaction et de joie de récipiendaires.
La FFCI emploie 215 personnels de recrutement local en dehors du personnel à titre privé comme les nounous. Ils sont 79% d’hommes de toutes les nationalités dont 63% d’Ivoiriens, 28% de Burkinabé, 5% de Béninois, 3% de Togolais et 1% de Nigérians.
La majorité des emplois se trouvent dans des secteurs non techniques : restauration, espaces verts, gardiennage, entretien des locaux. Mais les Forces françaises ont aussi des techniciens menuisiers, mécaniciens auto ou des employés du tertiaire, des comptables, des gestionnaires des ressources humaines et des secrétaires.
Il s’agit d’emplois pérennes car ces personnes sont employés à durée indéterminée, indique une note de son service de communication.
aaa/akn/tm
Mme Ballo épouse Sidibé Djébéna, secrétaire au service des essences, qui y travaille depuis l’installation de la base du 43ème Bataillon d’infanterie marine (BIMA), en 1978, a reçu la médaille Grand-Or après 35 ans d’ancienneté tandis que Nou-Kouadio Koim Justin, mécanicien au service maintenance, se voyait décerner la médaille Or après 30 ans de service par le directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Formation professionnelle, Koné Kipeya.
Dix autres agents totalisant plus de 15 ans de service ont reçu la médaille de travail d’Argent en présence du commandant de la FFCI, le colonel Ludovic Pinon.
"Cette cérémonie est une opportunité pour marquer un point d’honneur à la valorisation du mérite de la force laborieuse parce qu’il n’y a de richesse que d’homme", a déclaré le représentant du ministre de l’Emploi, Dosso Moussa.
Koné Kipéya a salué et félicité l’heureuse initiative du commandant de la FFCI et la qualité des relations du couple franco-ivoirien.
La médaillée Grand-Or du travail, Mme Ballo, a traduit les sentiments de satisfaction et de joie de récipiendaires.
La FFCI emploie 215 personnels de recrutement local en dehors du personnel à titre privé comme les nounous. Ils sont 79% d’hommes de toutes les nationalités dont 63% d’Ivoiriens, 28% de Burkinabé, 5% de Béninois, 3% de Togolais et 1% de Nigérians.
La majorité des emplois se trouvent dans des secteurs non techniques : restauration, espaces verts, gardiennage, entretien des locaux. Mais les Forces françaises ont aussi des techniciens menuisiers, mécaniciens auto ou des employés du tertiaire, des comptables, des gestionnaires des ressources humaines et des secrétaires.
Il s’agit d’emplois pérennes car ces personnes sont employés à durée indéterminée, indique une note de son service de communication.
aaa/akn/tm
