Abidjan (Côte d'Ivoire) - L’Asec Mimosas d’Abidjan a validé son ticket pour les quarts de finale de la Coupe nationale de football, en battant, difficilement, (1-0), la Jeunesse-Club d’Abidjan-Treichville (Jcat) , lundi après-midi, au stade Robert Champroux de Marcory.
Réduite à dix après l'expulsion d'Ousmane Doumbia (45') pour jeu dangereux, l'équipe de l'Asec a dû puiser dans ses réserves pour se défaire d'une formation déterminée de la Jcat qui a payé cash son jeu viril, à l'image de son défenseur Hamadou Konaté , auteur d'une grossière faute sur l'attaquant Mimos, Saliou Guindo, en pleine surface de réparation.
Le pénalty accordé est, victorieusement, transformé par Marc Sékyéré (57', 1-0). Les poulains du coach Alain Gouaméné, en infériorité numérique, ont contenu les assauts des Treichvillois pour conserver cet acquis jusqu'au coup de sifflet final, synonyme de qualification pour les quarts de finale.
L'Asec Mimosas rejoint, ainsi, le Wac, la Soa, l'Africa, Bouaflé et Gagnoa à ce stade de la compétition. Le dernier des 1/8è de finale de la Coupe nationale opposera, le 25 juillet prochain, l'Afad (Ligue 1) à Issia Wazi, pensionnaire de la Ligue2.
HS/ls/APA
Réduite à dix après l'expulsion d'Ousmane Doumbia (45') pour jeu dangereux, l'équipe de l'Asec a dû puiser dans ses réserves pour se défaire d'une formation déterminée de la Jcat qui a payé cash son jeu viril, à l'image de son défenseur Hamadou Konaté , auteur d'une grossière faute sur l'attaquant Mimos, Saliou Guindo, en pleine surface de réparation.
Le pénalty accordé est, victorieusement, transformé par Marc Sékyéré (57', 1-0). Les poulains du coach Alain Gouaméné, en infériorité numérique, ont contenu les assauts des Treichvillois pour conserver cet acquis jusqu'au coup de sifflet final, synonyme de qualification pour les quarts de finale.
L'Asec Mimosas rejoint, ainsi, le Wac, la Soa, l'Africa, Bouaflé et Gagnoa à ce stade de la compétition. Le dernier des 1/8è de finale de la Coupe nationale opposera, le 25 juillet prochain, l'Afad (Ligue 1) à Issia Wazi, pensionnaire de la Ligue2.
HS/ls/APA