Dans la nuit du vendredi 24 juillet 2015, une forte pluie a arrosé Conakry et ses environs. Le rythme s'est accentué samedi 25 et dimanche 26 juillet sans arrêt pratiquement paralysant ainsi les activités. Avec l'urbanisation inadaptée de Conakry, plusieurs concessions ont été inondées, causant 4 morts selon des informations rapportées par la radio nationale.
Une personne a été tuée par noyade et une autre sauvée de justesse. Leur véhicule a été emporté par une forte crue de la grande voie en face du siège du parti de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) de Cellou Dalein Diallo –banlieue de la capitale-. Le tout, près d’un nouveau pont qui relie le quartier Minière à Taouyah.
À quelques kilomètres de là, dans un autre quartier dénommé Conteyah près du stade Nongo Conakry, 2 personnes ont perdu la vie.
Une quatrième victime noyée, a été découverte dimanche à Matoto, une autre commune de Conakry.
En cette matinée du lundi 27 juillet, les fortes pluies se sont intensifiées. Les rues sont impraticables. De nombreuses habitations à Kaloum (centre administratif), en banlieue de la capitale Conakry, ont été submergées d'eau obligeant des familles entières à se réfugier dehors sous la pluie ou chez des voisins non touchés.
Pour l’heure, aucune mesure officielle n’a été annoncée par les autorités guinéennes.
Aliou BM Diallo, à Conakry avec afrikipresse.fr
Une personne a été tuée par noyade et une autre sauvée de justesse. Leur véhicule a été emporté par une forte crue de la grande voie en face du siège du parti de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) de Cellou Dalein Diallo –banlieue de la capitale-. Le tout, près d’un nouveau pont qui relie le quartier Minière à Taouyah.
À quelques kilomètres de là, dans un autre quartier dénommé Conteyah près du stade Nongo Conakry, 2 personnes ont perdu la vie.
Une quatrième victime noyée, a été découverte dimanche à Matoto, une autre commune de Conakry.
En cette matinée du lundi 27 juillet, les fortes pluies se sont intensifiées. Les rues sont impraticables. De nombreuses habitations à Kaloum (centre administratif), en banlieue de la capitale Conakry, ont été submergées d'eau obligeant des familles entières à se réfugier dehors sous la pluie ou chez des voisins non touchés.
Pour l’heure, aucune mesure officielle n’a été annoncée par les autorités guinéennes.
Aliou BM Diallo, à Conakry avec afrikipresse.fr