La non-qualification des nageurs ivoiriens par le ministère des Sports aux Jeux Africains continue d’alimenter la sphère sportive ivoirienne. Lors de la réception des ‘’maracaniers’’ le vendredi dernier, le ministre Albert Amichia est revenu sur les raisons qui ont éliminé la natation. « Il faut que tout le monde sache que la sélection des disciplines pour les Jeux Africains 2015 a débuté bien avant longtemps, avant même mon retour au ministère. Le critère principal pour le choix des disciplines, n’était autre que la tenue régulière des activités et compétitions sur la saison. Malheureusement, la natation n’était pas présent au plan local ces derniers temps (…) Lorsque les nageurs ivoiriens, pour la plupart des binationaux que nous avons découverts à la faveur des mondiaux de Kazan, se relèvent, il est trop tard pour les faire enregistrer. Les Jeux Africains étant une compétition internationale, le mécanisme et la gestion de cette compétition nous sont imposés. On ne peut pas faire des arrangements comme si c’était une compétition nationale pour introduire ou retirer telle ou telle discipline.
C’est difficile pour nous tous de voir ces brillants nageurs sur la touche, mais je le répète , la gestion de cette compétition n’est pas de notre ressort », a expliqué le ministre sur l’absence des nageurs ivoiriens pour les Jeux Africains. Une explication qui n’est pas du goût de la Fédération ivoirienne de natation. Car selon les services du président de la Fins, en manque d’infrastructures sportives, notamment la piscine d’Etat, il est impossible d’organiser un championnat régulier. Toutefois, le président de la Fins s’est évertué à organiser un championnat purement axé sur les enfants. Ces compétitions ont eu pour cadre la piscine Dominique Ouattara de Bingerville et d’autres piscine privées tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays ( Dabou). Aussi, sous l’ère du ministre Alain Lobognon, la politique des binationaux a été lancée.
Permettant ainsi à Danho Thibaut, Te Flan Tabita, Luc Patiner de bénéficier de bourse. Les performances de ces nageurs hors de la Côte d’Ivoire sont comptabilisées au record ivoirien. En clair, ils défendent les couleurs de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. « L’administration est une continuité. Les cadres du ministère des Sports ont connaissance du dossier des binationaux. Ils savent que la fédération ne dispose pas de piscine. Celle de Bingerville n’est pas une piscine aux normes internationales. Nous avons misé sur ces binationaux. Surtout pour la participation à ces Jeux. Et nous sommes étonnés qu’on brandisse l’argument du championnat local », a indiqué le service communication de la Fins visiblement en colère. Qui a annoncé que la Fédération se battra pour être aux Jeux Africains avec ou sans les moyens de l’Etat.
Ange K
C’est difficile pour nous tous de voir ces brillants nageurs sur la touche, mais je le répète , la gestion de cette compétition n’est pas de notre ressort », a expliqué le ministre sur l’absence des nageurs ivoiriens pour les Jeux Africains. Une explication qui n’est pas du goût de la Fédération ivoirienne de natation. Car selon les services du président de la Fins, en manque d’infrastructures sportives, notamment la piscine d’Etat, il est impossible d’organiser un championnat régulier. Toutefois, le président de la Fins s’est évertué à organiser un championnat purement axé sur les enfants. Ces compétitions ont eu pour cadre la piscine Dominique Ouattara de Bingerville et d’autres piscine privées tant à Abidjan qu’à l’intérieur du pays ( Dabou). Aussi, sous l’ère du ministre Alain Lobognon, la politique des binationaux a été lancée.
Permettant ainsi à Danho Thibaut, Te Flan Tabita, Luc Patiner de bénéficier de bourse. Les performances de ces nageurs hors de la Côte d’Ivoire sont comptabilisées au record ivoirien. En clair, ils défendent les couleurs de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. « L’administration est une continuité. Les cadres du ministère des Sports ont connaissance du dossier des binationaux. Ils savent que la fédération ne dispose pas de piscine. Celle de Bingerville n’est pas une piscine aux normes internationales. Nous avons misé sur ces binationaux. Surtout pour la participation à ces Jeux. Et nous sommes étonnés qu’on brandisse l’argument du championnat local », a indiqué le service communication de la Fins visiblement en colère. Qui a annoncé que la Fédération se battra pour être aux Jeux Africains avec ou sans les moyens de l’Etat.
Ange K