Le président du Conseil d’administration de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI), Patrick N’Gouan, exhortés les Ivoiriens à "partager les stéréotypes positifs", en vue de la construction d’une nation forte.
"La Côte d’Ivoire est divisée en quatre groupes ethniques, à savoir les akans, les krou, les gours et malinkés. Ces quatre groupes ethniques font parfois l’objet de stéréotypes, à savoir que certains peuples en Côte d’Ivoire sont avares, hypocrites, rancuniers, fiers et orgueilleux", a relevé M. N’gouan, qui s’exprimait, jeudi à Abidjan, lors du grand forum de la gouvernance identitaire initié par l’ONG international Verbatims.
"Mais ce qui est intéressant est que ces derniers avaient le sens du raffinement, des protocoles, de la discipline, de la bienséance et de la dignité, ce qui fait qu’ils travaillent dur pour ne pas avoir honte et se prendre en charge pour ne pas dépendre de l’ autre", a-t-il signifié.
Il y a, selon le PCA de la CSCI, une deuxième catégorie de stéréotype, qui qualifie certains peuples de "brouillons, désordonnés, violents, mais on reconnaissait que ces peuples-là ont l’ esprit d’initiative, le sens des affaires, le sens de l’épargne et la générosité".
"La troisième catégorie de stéréotype, ce sont les peuples considérés comme indisciplinés, non raffinés, non organisé en Etat ou autres, mais tout le monde reconnaît en Côte d’Ivoire qu’ils sont sincères dans leurs relations, et qu’ils sont solidaires", a-t-il ajouté.
Pour lui donc, l’urbanisation, l’école et les religions révélées nous enseignent que les stéréotypes négatifs reposent sur des bases fragiles et donc doivent être amoindris, au profit des stéréotypes positifs pour la construction de la nation ivoirienne.
"La Côte d’Ivoire est divisée en quatre groupes ethniques, à savoir les akans, les krou, les gours et malinkés. Ces quatre groupes ethniques font parfois l’objet de stéréotypes, à savoir que certains peuples en Côte d’Ivoire sont avares, hypocrites, rancuniers, fiers et orgueilleux", a relevé M. N’gouan, qui s’exprimait, jeudi à Abidjan, lors du grand forum de la gouvernance identitaire initié par l’ONG international Verbatims.
"Mais ce qui est intéressant est que ces derniers avaient le sens du raffinement, des protocoles, de la discipline, de la bienséance et de la dignité, ce qui fait qu’ils travaillent dur pour ne pas avoir honte et se prendre en charge pour ne pas dépendre de l’ autre", a-t-il signifié.
Il y a, selon le PCA de la CSCI, une deuxième catégorie de stéréotype, qui qualifie certains peuples de "brouillons, désordonnés, violents, mais on reconnaissait que ces peuples-là ont l’ esprit d’initiative, le sens des affaires, le sens de l’épargne et la générosité".
"La troisième catégorie de stéréotype, ce sont les peuples considérés comme indisciplinés, non raffinés, non organisé en Etat ou autres, mais tout le monde reconnaît en Côte d’Ivoire qu’ils sont sincères dans leurs relations, et qu’ils sont solidaires", a-t-il ajouté.
Pour lui donc, l’urbanisation, l’école et les religions révélées nous enseignent que les stéréotypes négatifs reposent sur des bases fragiles et donc doivent être amoindris, au profit des stéréotypes positifs pour la construction de la nation ivoirienne.
