Abidjan - L’association des femmes Dehima pour l’enseignement (AFDE), a offert, samedi, des vivres et non vivres aux enfants du village SOS d’Abobo (Abidjan), a constaté l'AIP lors d'une cérémonie au sein de ce centre d'accueil.
Ce dont comprend du riz, du savon, des pâtes alimentaires, des chaussures, de l'huile et du vivrier.
Selon la présidente de cette organisation, N’Guessan Béatrice Aladéma, leur choix s 9;est porté sur les enfants du village SOS d’Abobo parce qu’elles sont "d’abord des mères". "Mais aussi parce que nous sommes dans un mois de reconnaissance, un mois ou il faut faire du bien à celui qui vous a fait du bien", a-t-elle dit, estimant qu"honorer Dieu, c’est prôner l’amour autour de soi, et faire vivre un enfant".
L’église Déhima a été fondée en 1922 à Lakota par la prophétesse Bagué wlonyo, née en 1892 et décédée en 1951, en vue de "libérer l’homme de l’idolâtrie des fétiches, et de lutter contre la sorcellerie en l’amenant à honorer Dieu".
Le village SOS d’Abobo a quant à lui été créé en 1971. Il permet d’accueillir les enfants ayant perdu la prise en charge familia le ou risquent de la perdre pour différentes raisons, notamment l’indigence, les maladies chroniques et invalidantes, ainsi que les décès.
(AIP)
sdaf/tm
Ce dont comprend du riz, du savon, des pâtes alimentaires, des chaussures, de l'huile et du vivrier.
Selon la présidente de cette organisation, N’Guessan Béatrice Aladéma, leur choix s 9;est porté sur les enfants du village SOS d’Abobo parce qu’elles sont "d’abord des mères". "Mais aussi parce que nous sommes dans un mois de reconnaissance, un mois ou il faut faire du bien à celui qui vous a fait du bien", a-t-elle dit, estimant qu"honorer Dieu, c’est prôner l’amour autour de soi, et faire vivre un enfant".
L’église Déhima a été fondée en 1922 à Lakota par la prophétesse Bagué wlonyo, née en 1892 et décédée en 1951, en vue de "libérer l’homme de l’idolâtrie des fétiches, et de lutter contre la sorcellerie en l’amenant à honorer Dieu".
Le village SOS d’Abobo a quant à lui été créé en 1971. Il permet d’accueillir les enfants ayant perdu la prise en charge familia le ou risquent de la perdre pour différentes raisons, notamment l’indigence, les maladies chroniques et invalidantes, ainsi que les décès.
(AIP)
sdaf/tm