En match aller du dernier tour des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations (Chan 2016), les Eléphants locaux sont tombés, hier, à Koumassi au Ghana face aux Black Stars locaux (2-1).
Une défaite certes, mais une défaite qui laisse tout de même une marge de manœuvre aux Eléphants locaux qui accueilleront le match retour le 31 octobre prochain au stade Félix Houphouët-Boigny. Certes, le bon test en amical contre la sélection des Lions Indomptables locaux du Cameroun à Abidjan (1-1), avait fait naitre de grands espoirs avant le départ de Serges N’Guessan, capitaine d’équipe, et ses coéquipiers à Koumassi. Où les attendait une sélection ghanéenne plus jambe et coachée par l’ancien attaquant vedette de l’Asante Kotoko, Maxwell Konadu. La vérité, c’est qu’alors que le championnat d’élite du Ghana n’a pris fin que depuis quelques deux semaines, celui de Côte d’Ivoire avait pris fin depuis juillet dernier. Pour être en jambes, les Eléphants locaux auraient dû jouer le plus grand nombre de matchs amicaux possibles. Mais bon voilà, la situation financière qui prévaut à la Maison de verre de Treichville, conjuguée au fait que les potentiels sparring partners ne couraient pas les rues, les Eléphants locaux ont dû se contenter d’un seul match amical contre les Lions Indomptables locaux. Ce qui n’était apparemment pas suffisant pour colmater toutes les brèches. Mais tout compte fait, le résultat obtenu par la sélection locale de Côte d’Ivoire, hier, à Koumassi, est nettement mieux que celui engrangé à Kano, en 2013, face à l’ogre nigérian. Les Nigérians ayant rendu le match retour à Abidjan presque sans intérêt, en battant nettement les Ivoiriens sur le score de 4-1. Certes, il y avait eu une bonne réaction ivoirienne au match retour (2-0), mais les jeux avaient été faits depuis Kano. Cette fois, l’équation s’annonce a priori moins difficile. Puisqu’un score de 1-0 devrait pouvoir suffire dans deux semaines à Abidjan. Mais il y a loin de la coupe aux lèvres. Les Ivoiriens devant se donner les moyens pour atteindre ce résultat, qui leur permettrait de revenir dans une compétition où ils ne sont plus réapparus depuis 2011. Une autre paire de manche.
Patrice BEKET
Une défaite certes, mais une défaite qui laisse tout de même une marge de manœuvre aux Eléphants locaux qui accueilleront le match retour le 31 octobre prochain au stade Félix Houphouët-Boigny. Certes, le bon test en amical contre la sélection des Lions Indomptables locaux du Cameroun à Abidjan (1-1), avait fait naitre de grands espoirs avant le départ de Serges N’Guessan, capitaine d’équipe, et ses coéquipiers à Koumassi. Où les attendait une sélection ghanéenne plus jambe et coachée par l’ancien attaquant vedette de l’Asante Kotoko, Maxwell Konadu. La vérité, c’est qu’alors que le championnat d’élite du Ghana n’a pris fin que depuis quelques deux semaines, celui de Côte d’Ivoire avait pris fin depuis juillet dernier. Pour être en jambes, les Eléphants locaux auraient dû jouer le plus grand nombre de matchs amicaux possibles. Mais bon voilà, la situation financière qui prévaut à la Maison de verre de Treichville, conjuguée au fait que les potentiels sparring partners ne couraient pas les rues, les Eléphants locaux ont dû se contenter d’un seul match amical contre les Lions Indomptables locaux. Ce qui n’était apparemment pas suffisant pour colmater toutes les brèches. Mais tout compte fait, le résultat obtenu par la sélection locale de Côte d’Ivoire, hier, à Koumassi, est nettement mieux que celui engrangé à Kano, en 2013, face à l’ogre nigérian. Les Nigérians ayant rendu le match retour à Abidjan presque sans intérêt, en battant nettement les Ivoiriens sur le score de 4-1. Certes, il y avait eu une bonne réaction ivoirienne au match retour (2-0), mais les jeux avaient été faits depuis Kano. Cette fois, l’équation s’annonce a priori moins difficile. Puisqu’un score de 1-0 devrait pouvoir suffire dans deux semaines à Abidjan. Mais il y a loin de la coupe aux lèvres. Les Ivoiriens devant se donner les moyens pour atteindre ce résultat, qui leur permettrait de revenir dans une compétition où ils ne sont plus réapparus depuis 2011. Une autre paire de manche.
Patrice BEKET