La célèbre maxime de Suétone, selon laquelle « Le Renard change de poil, mais pas de caractère », se trouve, une fois de plus et malheureusement, vérifiée. L’homme qui se présenta, comme providentiel, pour les sélections nationales de football en Afrique, demeure un poids plume, en réalité, sur sa propre terre natale. Il en perd d’ailleurs ses poils, chaque fois qu’il y met les pattes, pardon, les pieds. Sorti de nulle part, le Renard s’est forgé une sacrée réputation, dans le gotha du foot africain. En fait, par un coup de bâton magique, il a vaincu les Pachydermes ivoiriens en finale, en 2012.
Il s’est pris alors pour le plus fort, le plus rusé, l’invincible sorcier en chemise blanche. Tel un vrai prestidigitateur, le Renard est arrivé à grader les jeunes chipolopolo, à la surprise générale. Auréolé de ce succès, notre héros décide de repartir chez lui, comme un prophète, nanti de sa couronne. Il veut démentir l’adage qui stipule que « nul n’est prophète chez soi ». Sochaux se laisse tromper, comme il a trompé les Zambiens, qui espéraient le voir reproduire le miracle de 2012.
L’Afrique est, à la vérité, son seul terrain de prédilection. C’est pourquoi, le Renard va y revenir, quand les dirigeants du football ivoirien lui tendent la perche, deux ans après. Ils n’ont pas souvenance qu’un « renard ne salit jamais sa queue. » Aussi, après avoir réussi l’exploit avec les Eléphants, il décida, une fois de plus, à la première tempête (sic), de se tirer avec sa queue, sans la moindre explication. Destination Lille, cette fois-ci, accompagné de l’esprit chagrin des sages d’Akradio. Résultat : il en périt, de la manière la plus lamentable qu’il soit. Non, monsieur le Renard ! Le foot n’est pas une science exacte. Et surtout, ce qui s’applique à l’un, ne s’applique pas forcement à l’autre ici. La bonne conduite veut que l’on s’abstienne de rire du malheur d’autrui. Mais « le cadavre de l’ennemie sent toujours bon », dit le dicton.
Que l’on me pardonne. Je suis dans l’affecte. Je ne puis donc m’empêcher de ricaner haut et fort, de ce qui est arrivé au renard. J’ai presqu’envie de dire que c’est bien fait pour ta gueule, pauvre renard. Les Ivoiriens ont compté sur toi, pour bâtir une solide équipe. Un groupe pour les échéances à venir : Coupe du monde, CAN et autres. Mais maître renard les a plaqués. En réalité, tout ceci confirme bel et bien l’adage Kurdes suivant : « Il n’y a pas plus malin qu’un renard et pourtant, les marchés regorgent de sa peau ». Ta peau, tes propres frères l’ont eue. C’est la raison pour laquelle, aux autres nations, qui seraient tenté de tomber sous ton charme trompeur, je demande de retenir ce dicton Basque : « Quand le renard se met à prêcher, prends garde à ta poule.
HED De Lo
Il s’est pris alors pour le plus fort, le plus rusé, l’invincible sorcier en chemise blanche. Tel un vrai prestidigitateur, le Renard est arrivé à grader les jeunes chipolopolo, à la surprise générale. Auréolé de ce succès, notre héros décide de repartir chez lui, comme un prophète, nanti de sa couronne. Il veut démentir l’adage qui stipule que « nul n’est prophète chez soi ». Sochaux se laisse tromper, comme il a trompé les Zambiens, qui espéraient le voir reproduire le miracle de 2012.
L’Afrique est, à la vérité, son seul terrain de prédilection. C’est pourquoi, le Renard va y revenir, quand les dirigeants du football ivoirien lui tendent la perche, deux ans après. Ils n’ont pas souvenance qu’un « renard ne salit jamais sa queue. » Aussi, après avoir réussi l’exploit avec les Eléphants, il décida, une fois de plus, à la première tempête (sic), de se tirer avec sa queue, sans la moindre explication. Destination Lille, cette fois-ci, accompagné de l’esprit chagrin des sages d’Akradio. Résultat : il en périt, de la manière la plus lamentable qu’il soit. Non, monsieur le Renard ! Le foot n’est pas une science exacte. Et surtout, ce qui s’applique à l’un, ne s’applique pas forcement à l’autre ici. La bonne conduite veut que l’on s’abstienne de rire du malheur d’autrui. Mais « le cadavre de l’ennemie sent toujours bon », dit le dicton.
Que l’on me pardonne. Je suis dans l’affecte. Je ne puis donc m’empêcher de ricaner haut et fort, de ce qui est arrivé au renard. J’ai presqu’envie de dire que c’est bien fait pour ta gueule, pauvre renard. Les Ivoiriens ont compté sur toi, pour bâtir une solide équipe. Un groupe pour les échéances à venir : Coupe du monde, CAN et autres. Mais maître renard les a plaqués. En réalité, tout ceci confirme bel et bien l’adage Kurdes suivant : « Il n’y a pas plus malin qu’un renard et pourtant, les marchés regorgent de sa peau ». Ta peau, tes propres frères l’ont eue. C’est la raison pour laquelle, aux autres nations, qui seraient tenté de tomber sous ton charme trompeur, je demande de retenir ce dicton Basque : « Quand le renard se met à prêcher, prends garde à ta poule.
HED De Lo