Le 1er clasico ivoirien de l’année comptant pour la 2ème journée de la Ligue 1 n’a pu permettre de départager l’Africa sport d’Abidjan et l’Asec mimosas qui se sont affrontés hier au stade Félix Houphouët-Boigny. Les deux équipes se sont séparées sur un nul (1-1).
L’Asec mimosas a l’occasion de se mettre rapidement dans le sens de la marche mais par maladresse, elle vendange deux occasions nettes de but. La première se situe à la 14ème minute. Bien servi par Traoré Moussa, le colosse attaquant nigérian Solomon Okuruket, transfuge du C.O. Bouaflé, rate complètement sa reprise. Cinq minutes plus tard, le même Solomon Okuruket revient à la charge. Il reprend une balle qui frappe la barre transversale des perches du portier adverse. Sa troisième tentative est la bonne. Laissé libre de tout mouvement par les défenseurs vert et rouge qui le croient en position de hors- jeu, l’avant-centre jaune et noir fusille Zadi Hortalin Jean Malick à la 40ème minute. Un avantage mérité après une série de ratés.
L’unique occasion de but de l’Africa se situe à la 6ème minute. Gnahoua Lebé Jean-Claude, à la réception d’une longue transversale d’un partenaire, réussit une superbe volée. Heureusement pour l’Asec, Diomandé Namory s’interpose et repousse le ballon en corner. La pause intervient sur le score de 1-0 pour les Mimosas.
A la reprise, l’Africa affiche plus de détermination. L’Asec mimosas subit le match. La pression vert et rouge est tellement forte qu’un défenseur commet une faute de main en pleine surface de réparation à la suite d’un corner. Dembélé Denis siffle le penalty qui s’impose. Soualio Dabila prend Diomandé Namory à contre pied et ramène les deux équipes à égalité.
L’apparition sur l’aire de jeu de Kameni Kameni Joseph à la place de Dao Youssouf ne donne pas plus de mordant à la division offensive de l’Asec. Quant à Zakri Krahiri il ne trouvera jamais le bon pied pour offrir la victoire aux siens. Du côté de l’Africa, les entrées de Blagnon Goué Frédéric et Tia Goué ne feront pas non plus bouger les choses.
Au finish, l’Africa et l’Asec se sont quitté sur un nul assez équitable. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce clasico n’a pas atteint les sommets.
Ephrem Touboui
L’Asec mimosas a l’occasion de se mettre rapidement dans le sens de la marche mais par maladresse, elle vendange deux occasions nettes de but. La première se situe à la 14ème minute. Bien servi par Traoré Moussa, le colosse attaquant nigérian Solomon Okuruket, transfuge du C.O. Bouaflé, rate complètement sa reprise. Cinq minutes plus tard, le même Solomon Okuruket revient à la charge. Il reprend une balle qui frappe la barre transversale des perches du portier adverse. Sa troisième tentative est la bonne. Laissé libre de tout mouvement par les défenseurs vert et rouge qui le croient en position de hors- jeu, l’avant-centre jaune et noir fusille Zadi Hortalin Jean Malick à la 40ème minute. Un avantage mérité après une série de ratés.
L’unique occasion de but de l’Africa se situe à la 6ème minute. Gnahoua Lebé Jean-Claude, à la réception d’une longue transversale d’un partenaire, réussit une superbe volée. Heureusement pour l’Asec, Diomandé Namory s’interpose et repousse le ballon en corner. La pause intervient sur le score de 1-0 pour les Mimosas.
A la reprise, l’Africa affiche plus de détermination. L’Asec mimosas subit le match. La pression vert et rouge est tellement forte qu’un défenseur commet une faute de main en pleine surface de réparation à la suite d’un corner. Dembélé Denis siffle le penalty qui s’impose. Soualio Dabila prend Diomandé Namory à contre pied et ramène les deux équipes à égalité.
L’apparition sur l’aire de jeu de Kameni Kameni Joseph à la place de Dao Youssouf ne donne pas plus de mordant à la division offensive de l’Asec. Quant à Zakri Krahiri il ne trouvera jamais le bon pied pour offrir la victoire aux siens. Du côté de l’Africa, les entrées de Blagnon Goué Frédéric et Tia Goué ne feront pas non plus bouger les choses.
Au finish, l’Africa et l’Asec se sont quitté sur un nul assez équitable. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce clasico n’a pas atteint les sommets.
Ephrem Touboui