« Nous avons besoins du soutien de la tutelle »
Koné Sanga, président de FIVVB a été élu au sein du comité directeur de l’instance africaine pour diriger et animer la zone 3 pour un mandat de 4 ans. Une mission que le patron du volleyball ivoirien compte réussir avec le secret espoir de placer le volleyball ivoirien sur le toit de l’Afrique.
Quel bilan faites-vous de cette saison 2015 qui vient de s’achever ?
Il faut souligner d’abord que ce fut un exercice moyen. Ce fut compliqué car il y a eu quelques perturbations mais aussi des soucis financiers. Mais Dieu merci, nous avons malgré tout, réussi à boucler le calendrier de nos compétitions. En l’occurrence, le championnat national et la coupe nationale au niveau du volleyball en salle, les différents championnats au niveau du beach-volley. Heureusement aussi, cette année 2015 fut l’année où nous avons renoué avec les compétitions internationales après deux ans d’absence. Notamment au niveau du beach-volley où nous avons participé a quatre compétitions. Au niveau du volleyball en salle, nous étions en août dernier à Accra ou nous avons manqué de peu la consécration. Malheureusement les résultats n’ont pas été à la hauteur de nos attentes. Surement que ceux de 2016 seront bonne.
Cette saison 2015 a refermé ses portes avec votre élection au sein de la confédération africaine de volleyball comme président de la zone 3. Vos impressions ?
Je suis tout simplement ému. C’est un grand honneur pour moi d’être choisit par mes pairs pour diriger la zone 3 qui regroupe le Niger, le Nigeria, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Burkina Faso, le Liberia et la Côte d’Ivoire. Et ce pour les quatre prochaines années. C’est une marque d’estime mais surtout la résultante des nombreux soutiens qui nous accompagnent depuis le début de l’aventure. Bien entendu, notre souhait est d’être fonctionnel avec le soutien de tout le monde, de la tutelle, nos partenaires, le CNO, la presse etc… Pour réussir notre mission et aussi porter haut le flambeau du volleyball ivoirien.
Cette élection n’a pas été la seule bonne nouvelle pour le volleyball ivoirien. Il y a eu également la mise en place du projet ‘’african dream’’ pour la formation de jeunes volleyeurs sur 4 ans. Où en êtes-vous avec ce projet ?
Le projet suit son petit bonhomme de chemin. Nous avons procédé à son lancement en octobre 2015. Les centres sont ouverts, nous avons déjà commencé à travailler. Certes, il y a eu les vacances scolaires mais les enfants recrutés ont repris les entrainements. Les superviseurs ont, de leur côté commencé les contrôles qui s’effectuent chaque mois. Et les premières rencontres inter-centres sont prévues pour cette fin d’année 2016 pour évaluer les premiers apprenants.
Vous avez le soutien de l’instance internationale dans le projet ‘’african dream’’ et en plus vous êtes élu membre du comité directeur du volleyball africain. Comment expliquez-vous votre presence au sein des deux institutions ?
Pour moi, c’est le résultat de tout le travail qui a été réalisé à la tête de la FIVVB par mon équipe et moi. On pourrait dire qu’on récolte maintenant le fruit de ce que nous avons semé. Mais pour moi, c’est maintenant que le plus dur commence et nous ne devons pas dormir sur nos lauriers. Nous devons aller au terme de nos projets. En un mot, nous devons travailler plus pour être une fédération compétitive. Nous sommes dans le sport et seul les bons résultats paient.
En termes de perspective, à quoi peut-on s’attendre?
Pour nous, s’agira d’abord d’avoir un championnat d’un très bon niveau. Des séances de formation d’athlètes, d’encadreurs et d’officiels ponctués de regroupements. Afin de décrocher des médailles sur le plan continental et pourquoi pas mondial. Surtout qu’au niveau du beach-volley nous sommes en course pour la ‘’continental cup zone 3’’ qualificatif pour les prochains Jeux Olympiques de Rio. Et en ce qui concerne la zone 3, la Côte d’Ivoire abritera la coupe d’Afrique des clubs champions. Pour cette compétition, nous espérons le sacre des siens. Apres ce sera la coupe d’Afrique des nations zone 3 et à la fin de l’année les sélections nationales seront engagé pour le 1er tour éliminatoire de la coupe du monde 2018. D’où l’organisation d’activités locales denses pour des équipes nationales assez compétitives.
Pensez-vous pouvoir supporter tous ce programme ?
Mon équipe et moi sommes des hommes de challenge. Et en plus, nous nous devons de réussir les tâches qui nous ont été confiées. On peut y arriver. La zone 3, c’est huit pays et en termes d’organisations, ce n’est pas une mince affaire. Mais ce sera l’occasion aussi pour nous d’entamer notre mandat.
Avez-vous le soutien de la tutelle ?
Nous avons déjà soumis notre programme au ministère des Sports. Et à cet effet nous avons besoin du soutien de notre tutelle. La présence du ministère des Sports à nos côtés pour ses 4 ans sera d’un apport considérable. Surtout que les dettes de l’année dernière n’ont pas encore été apurées.
Propos recueillis par Alex Sangaré
Koné Sanga, président de FIVVB a été élu au sein du comité directeur de l’instance africaine pour diriger et animer la zone 3 pour un mandat de 4 ans. Une mission que le patron du volleyball ivoirien compte réussir avec le secret espoir de placer le volleyball ivoirien sur le toit de l’Afrique.
Quel bilan faites-vous de cette saison 2015 qui vient de s’achever ?
Il faut souligner d’abord que ce fut un exercice moyen. Ce fut compliqué car il y a eu quelques perturbations mais aussi des soucis financiers. Mais Dieu merci, nous avons malgré tout, réussi à boucler le calendrier de nos compétitions. En l’occurrence, le championnat national et la coupe nationale au niveau du volleyball en salle, les différents championnats au niveau du beach-volley. Heureusement aussi, cette année 2015 fut l’année où nous avons renoué avec les compétitions internationales après deux ans d’absence. Notamment au niveau du beach-volley où nous avons participé a quatre compétitions. Au niveau du volleyball en salle, nous étions en août dernier à Accra ou nous avons manqué de peu la consécration. Malheureusement les résultats n’ont pas été à la hauteur de nos attentes. Surement que ceux de 2016 seront bonne.
Cette saison 2015 a refermé ses portes avec votre élection au sein de la confédération africaine de volleyball comme président de la zone 3. Vos impressions ?
Je suis tout simplement ému. C’est un grand honneur pour moi d’être choisit par mes pairs pour diriger la zone 3 qui regroupe le Niger, le Nigeria, le Bénin, le Togo, le Ghana, le Burkina Faso, le Liberia et la Côte d’Ivoire. Et ce pour les quatre prochaines années. C’est une marque d’estime mais surtout la résultante des nombreux soutiens qui nous accompagnent depuis le début de l’aventure. Bien entendu, notre souhait est d’être fonctionnel avec le soutien de tout le monde, de la tutelle, nos partenaires, le CNO, la presse etc… Pour réussir notre mission et aussi porter haut le flambeau du volleyball ivoirien.
Cette élection n’a pas été la seule bonne nouvelle pour le volleyball ivoirien. Il y a eu également la mise en place du projet ‘’african dream’’ pour la formation de jeunes volleyeurs sur 4 ans. Où en êtes-vous avec ce projet ?
Le projet suit son petit bonhomme de chemin. Nous avons procédé à son lancement en octobre 2015. Les centres sont ouverts, nous avons déjà commencé à travailler. Certes, il y a eu les vacances scolaires mais les enfants recrutés ont repris les entrainements. Les superviseurs ont, de leur côté commencé les contrôles qui s’effectuent chaque mois. Et les premières rencontres inter-centres sont prévues pour cette fin d’année 2016 pour évaluer les premiers apprenants.
Vous avez le soutien de l’instance internationale dans le projet ‘’african dream’’ et en plus vous êtes élu membre du comité directeur du volleyball africain. Comment expliquez-vous votre presence au sein des deux institutions ?
Pour moi, c’est le résultat de tout le travail qui a été réalisé à la tête de la FIVVB par mon équipe et moi. On pourrait dire qu’on récolte maintenant le fruit de ce que nous avons semé. Mais pour moi, c’est maintenant que le plus dur commence et nous ne devons pas dormir sur nos lauriers. Nous devons aller au terme de nos projets. En un mot, nous devons travailler plus pour être une fédération compétitive. Nous sommes dans le sport et seul les bons résultats paient.
En termes de perspective, à quoi peut-on s’attendre?
Pour nous, s’agira d’abord d’avoir un championnat d’un très bon niveau. Des séances de formation d’athlètes, d’encadreurs et d’officiels ponctués de regroupements. Afin de décrocher des médailles sur le plan continental et pourquoi pas mondial. Surtout qu’au niveau du beach-volley nous sommes en course pour la ‘’continental cup zone 3’’ qualificatif pour les prochains Jeux Olympiques de Rio. Et en ce qui concerne la zone 3, la Côte d’Ivoire abritera la coupe d’Afrique des clubs champions. Pour cette compétition, nous espérons le sacre des siens. Apres ce sera la coupe d’Afrique des nations zone 3 et à la fin de l’année les sélections nationales seront engagé pour le 1er tour éliminatoire de la coupe du monde 2018. D’où l’organisation d’activités locales denses pour des équipes nationales assez compétitives.
Pensez-vous pouvoir supporter tous ce programme ?
Mon équipe et moi sommes des hommes de challenge. Et en plus, nous nous devons de réussir les tâches qui nous ont été confiées. On peut y arriver. La zone 3, c’est huit pays et en termes d’organisations, ce n’est pas une mince affaire. Mais ce sera l’occasion aussi pour nous d’entamer notre mandat.
Avez-vous le soutien de la tutelle ?
Nous avons déjà soumis notre programme au ministère des Sports. Et à cet effet nous avons besoin du soutien de notre tutelle. La présence du ministère des Sports à nos côtés pour ses 4 ans sera d’un apport considérable. Surtout que les dettes de l’année dernière n’ont pas encore été apurées.
Propos recueillis par Alex Sangaré