« Une réflexion sérieuse mériterait d’être menée sur le cas des personnes du troisième âge qui en plus de n’être pas allés à l’école, sont restées toute leur vie sur leurs champs, à cultiver ignames, riz ou maïs pour leur substance ».
Tel fût le plaidoyer du président Henri Konan Bédié à l’occasion de la commémoration de la 25ème journée internationale des personnes âgées ténue ce vendredi 12 février 2016 à Daoukro.
Estimées à 913 668 selon le dernier recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2014, les personnes du troisième âge sont confrontées à d’énormes difficultés liées à celles du cadre de vie.
Ainsi conscient des problèmes que vivent cette tranche de personne de la population, le président Bédié a invité le ministère et structures en charges des préoccupations des personnes âgées à travailler d’arrache pied pour une meilleure condition de vie de ces derniers. Par ailleurs, il s’est réjoui des efforts considérables que font c’est structures et leur ministère de tutelle. « Je suis heureux de constater que notre pays a pris ce problème à bras le corps, au niveau étatique en créant des structures chargées spécifiquement de se pencher et d’aider à résoudre les problèmes de protection de cette catégorie de citoyens », s’est-il réjoui.
Aider les personnes âgées à éprouver un sentiment global de bien-être tel est le souhait du président Bédié. Selon lui, il faut aider les personnes du troisième âge afin qu’ils puissent disposer de moyens financiers, d’un logement plus ou moins décent, de pouvoir faire face aux problèmes de santé liés à leur état, de pouvoir continuer à mener une vie sociale et intellectuelle satisfaisante.
A en croire Henri Konan Bédié, les personnes âgées apparaissent comme un chantier important et ardu qu’il paraît absolument nécessaire de réaliser. Alors, judicieux serait-il d’intégrer dans les politiques nationales et sectorielles l’épineuse question de la protection et de la promotion des personnes du troisième âge.
Rappelons qu’en Côte d’Ivoire, en l’espace d’une décennie, le nombre de personnes âgées a connu une très forte augmentation environ 63,4% soit un taux d’accroissement annuel moyen de 5%.
CK envoyé spécial dans l’Iffou
Tel fût le plaidoyer du président Henri Konan Bédié à l’occasion de la commémoration de la 25ème journée internationale des personnes âgées ténue ce vendredi 12 février 2016 à Daoukro.
Estimées à 913 668 selon le dernier recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2014, les personnes du troisième âge sont confrontées à d’énormes difficultés liées à celles du cadre de vie.
Ainsi conscient des problèmes que vivent cette tranche de personne de la population, le président Bédié a invité le ministère et structures en charges des préoccupations des personnes âgées à travailler d’arrache pied pour une meilleure condition de vie de ces derniers. Par ailleurs, il s’est réjoui des efforts considérables que font c’est structures et leur ministère de tutelle. « Je suis heureux de constater que notre pays a pris ce problème à bras le corps, au niveau étatique en créant des structures chargées spécifiquement de se pencher et d’aider à résoudre les problèmes de protection de cette catégorie de citoyens », s’est-il réjoui.
Aider les personnes âgées à éprouver un sentiment global de bien-être tel est le souhait du président Bédié. Selon lui, il faut aider les personnes du troisième âge afin qu’ils puissent disposer de moyens financiers, d’un logement plus ou moins décent, de pouvoir faire face aux problèmes de santé liés à leur état, de pouvoir continuer à mener une vie sociale et intellectuelle satisfaisante.
A en croire Henri Konan Bédié, les personnes âgées apparaissent comme un chantier important et ardu qu’il paraît absolument nécessaire de réaliser. Alors, judicieux serait-il d’intégrer dans les politiques nationales et sectorielles l’épineuse question de la protection et de la promotion des personnes du troisième âge.
Rappelons qu’en Côte d’Ivoire, en l’espace d’une décennie, le nombre de personnes âgées a connu une très forte augmentation environ 63,4% soit un taux d’accroissement annuel moyen de 5%.
CK envoyé spécial dans l’Iffou