C’est un partenariat qui va s’étendre sur deux années. La section ivoirienne du Réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’Ouest (RASALAO-CI) et la Chaire UNESCO ont signé, ce lundi 29 février 2016, une convention au siège de l’institution à l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Le partenariat va porter sur la formation des membres du RASALAO-CI par la Chaire UNESCO notamment en Licence, Mater et Doctorat ainsi pour la formation diplômante dans des spécialités telles que le Droit international et sciences politiques, l’Action humanitaire et développement durable, la Culture de la paix et résolution de conflits, la Gestion des projets et logistique humanitaire.
C’est une cérémonie importante, a souligné Sylvère Koffi Tchédoh, président du RASALAO-CI d’autant plus que, a-t-relevé, ‘’nous, Ongs travaillons dans tous les domaines mais au niveau de l ‘expertise il y a défaut’’. Il s’est réjoui de ce partenariat qui permettra à ses membres, est-il convaincu, de bénéficier de formation ‘’afin de rendre leurs actions plus pertinentes sur le terrain’’.
Pour Gérard Lézou Dago, titulaire de la Chaire, les deux structures sont en ‘’parfaite convergence’’, la Chaire Unesco œuvrant pour la Culture de la paix et le RASALAO-CI étant une structure de contrôle et de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre. Il a souhaité, en outre, qu’en retour, ce nouveau partenaire puisse permettre d’accueillir les étudiants de la Chaire Unesco pour des stages pratiques. ‘’Monsieur le président, les points de convergence sont évidents : la sécurité, la paix, la vie, la justice et le développement. Vous nous accorderez une autre chance : recevoir nos étudiants chez vous pour les stages devenus incontournables dans les systèmes LMD’’, a-t-il exhorté.
Mohamed El Mehdi Ag Rhissa, Conseiller technique principal au programme ALPC du PNUD a souhaité, pour sa part, que ces formations aident les bénéficiaires à élaborer les meilleurs messages de lutte contre la prolifération des armes, ‘’parce qu’un mauvais message est plus dangereux qu’une kalachnikov’’.
Danielle Tagro
C’est une cérémonie importante, a souligné Sylvère Koffi Tchédoh, président du RASALAO-CI d’autant plus que, a-t-relevé, ‘’nous, Ongs travaillons dans tous les domaines mais au niveau de l ‘expertise il y a défaut’’. Il s’est réjoui de ce partenariat qui permettra à ses membres, est-il convaincu, de bénéficier de formation ‘’afin de rendre leurs actions plus pertinentes sur le terrain’’.
Pour Gérard Lézou Dago, titulaire de la Chaire, les deux structures sont en ‘’parfaite convergence’’, la Chaire Unesco œuvrant pour la Culture de la paix et le RASALAO-CI étant une structure de contrôle et de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre. Il a souhaité, en outre, qu’en retour, ce nouveau partenaire puisse permettre d’accueillir les étudiants de la Chaire Unesco pour des stages pratiques. ‘’Monsieur le président, les points de convergence sont évidents : la sécurité, la paix, la vie, la justice et le développement. Vous nous accorderez une autre chance : recevoir nos étudiants chez vous pour les stages devenus incontournables dans les systèmes LMD’’, a-t-il exhorté.
Mohamed El Mehdi Ag Rhissa, Conseiller technique principal au programme ALPC du PNUD a souhaité, pour sa part, que ces formations aident les bénéficiaires à élaborer les meilleurs messages de lutte contre la prolifération des armes, ‘’parce qu’un mauvais message est plus dangereux qu’une kalachnikov’’.
Danielle Tagro