La Société d’Exploitation Cotonnière SECO SA, filiale cotonnière du géant singapourien Olam International a été désignée lauréate du prix Cotton made in Africa pour son engagement écologique et éthique dans la production du coton. Selon Tina Stridde, Directrice Générale de Aid by Trade Foundation/Cotton made in Africa, ce prix est revenu à la société SECO « en raison de son engagement et sa performance exceptionnelle en 2015, qui devrait servir de modèle dans la région et au-delà ».
Cette distinction est le résultat des réformes effectuées dans le secteur de la coton-culture au niveau national. La production de coton, qui avait atteint son plus bas niveau en 2008 avec 120 000 tonnes, s’est développée de manière exceptionnelle tant au niveau de la production qu’au niveau durable. En 2014/2015, ce pays Ouest-Africain a enregistré une production record de coton graine de 450 000 tonnes. Cette hausse de production de 11% par rapport à la saison précédente représente la croissance de production la plus rapide de ces cinq dernières années. Au-delà des conditions météorologiques favorables, ce développement prospectif est dû à la supervision professionnelle du secteur par le Conseil Coton Anacarde (CCA), de création récente avec la contribution des différents interlocuteurs du secteur que sont le Ministère de l’Agriculture, l’APROCOT-ci (Association des sociétés cotonnières), Fédération et les sociétés cotonnières du pays.
« L’augmentation des volumes, l’amélioration de la qualité et des rendements est à mettre au crédit, d’une part, des producteurs, grâce à l’encadrement et aux formations dont ils bénéficient de la part des sociétés cotonnières, d’autre part, la filière bénéficie de la collaboration entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, l’interprofession au sein d’INTERCOTON, les sociétés cotonnières, l’agence de recherche CNRA et nos partenaires experts COMPACI et CmiA qui nous permet de continuer de soutenir mutuellement les agriculteurs, l’économie locale. Cotton made in Africa est de plus en plus accepté par l’industrie textile mondiale, » , explique Jean-François Touré, DG Adjoint de SECO en Côte d’Ivoire et membre du Comité de Direction de l’Association Cotonnière Africaine.
(SECO SA) a été créée en 2008 suite à la liquidation de LCCI, et à l’acquisition de ses actifs dont l’usine d’égrenage de coton de Ouangolodougou, dans le nord de la Côte d’Ivoire. SECO est présent dans l’ensemble du bassin cotonnier du pays.
Ses activités principales sont entre autres le soutien technique et la formation des cultivateurs de coton, le financement des intrants agricoles et des investissements liés à la culture attelée, la commercialisation du coton graine et son égrenage, l’exportation de la fibre et des produits issus de l’égrenage. SECO adhère à la Charte sur les moyens de subsistance du groupe Olam, qui a pour but d’apporter plus de prospérité aux communautés agricoles partenaires. Cette charte est fondée sur huit principes : ouverture de l’accès au financement, amélioration les techniques culturales, élaboration de bonnes pratiques de travail, accès au marché, amélioration de la qualité et de la traçabilité des produits et investissement dans les projets sociaux.
Elisée B, (avec le service communication de SECO-SA.)
Cette distinction est le résultat des réformes effectuées dans le secteur de la coton-culture au niveau national. La production de coton, qui avait atteint son plus bas niveau en 2008 avec 120 000 tonnes, s’est développée de manière exceptionnelle tant au niveau de la production qu’au niveau durable. En 2014/2015, ce pays Ouest-Africain a enregistré une production record de coton graine de 450 000 tonnes. Cette hausse de production de 11% par rapport à la saison précédente représente la croissance de production la plus rapide de ces cinq dernières années. Au-delà des conditions météorologiques favorables, ce développement prospectif est dû à la supervision professionnelle du secteur par le Conseil Coton Anacarde (CCA), de création récente avec la contribution des différents interlocuteurs du secteur que sont le Ministère de l’Agriculture, l’APROCOT-ci (Association des sociétés cotonnières), Fédération et les sociétés cotonnières du pays.
« L’augmentation des volumes, l’amélioration de la qualité et des rendements est à mettre au crédit, d’une part, des producteurs, grâce à l’encadrement et aux formations dont ils bénéficient de la part des sociétés cotonnières, d’autre part, la filière bénéficie de la collaboration entre le Conseil du Coton et de l’Anacarde, l’interprofession au sein d’INTERCOTON, les sociétés cotonnières, l’agence de recherche CNRA et nos partenaires experts COMPACI et CmiA qui nous permet de continuer de soutenir mutuellement les agriculteurs, l’économie locale. Cotton made in Africa est de plus en plus accepté par l’industrie textile mondiale, » , explique Jean-François Touré, DG Adjoint de SECO en Côte d’Ivoire et membre du Comité de Direction de l’Association Cotonnière Africaine.
(SECO SA) a été créée en 2008 suite à la liquidation de LCCI, et à l’acquisition de ses actifs dont l’usine d’égrenage de coton de Ouangolodougou, dans le nord de la Côte d’Ivoire. SECO est présent dans l’ensemble du bassin cotonnier du pays.
Ses activités principales sont entre autres le soutien technique et la formation des cultivateurs de coton, le financement des intrants agricoles et des investissements liés à la culture attelée, la commercialisation du coton graine et son égrenage, l’exportation de la fibre et des produits issus de l’égrenage. SECO adhère à la Charte sur les moyens de subsistance du groupe Olam, qui a pour but d’apporter plus de prospérité aux communautés agricoles partenaires. Cette charte est fondée sur huit principes : ouverture de l’accès au financement, amélioration les techniques culturales, élaboration de bonnes pratiques de travail, accès au marché, amélioration de la qualité et de la traçabilité des produits et investissement dans les projets sociaux.
Elisée B, (avec le service communication de SECO-SA.)
