La ville de Grand Bassam a abrité l’édition 2016 de la célébration de la journée mondiale des zones humides. C’était le mercredi 9 mars dernier à l’entrée de la ville classée patrimoine de l’Unesco où s’est déroulée la cérémonie officielle en présence des autorités administratives et de la population.
Cette journée a été organisée par la Direction de la Faune et des Ressources Cynégétiques pilotée par le commandant Salimata Koné.
L’objectif de cette manifestation est de faire connaitre l’existence de ce site et les implications liées à son statut international. Cette cérémonie a donc pour but de faire des plaidoyers pour l’utilisation rationnelle du site Ramsar de Grand Bassam.
M Ouegnin Guy Daniel, représentant du maire, a souhaité la bienvenue aux autorités ; avant d’interpeller la population sur la nécessité de la préservation des zones humides. Selon M Zana Ouattara de Palmci, les populations doivent s’engager dans la préservation de la biodiversité.
Selon, M Soro Doplé, Directeur de Cabinet du Ministre des Eaux et Forêts, le site Ramsar de grand Bassam subit des fortes pressions anthropiques : urbanisation (changement de dépressions humides, destruction de mangroves, destruction d’habitat de la faune), exploitation agro-industrielle (destruction de végétation naturelle, usage massif de produits chimiques), menaçant ses réserves en eau douce, sa biodiversité et la survie des espèces dépendantes de ces écosystèmes humides. Il a, en outre, exhorté la population de Grand Bassam à préserver et à sauvegarder les sites Ramsar contre toutes menaces.
Les différentes autorités ont procédé à l’inauguration des panneaux de sensibilisation. Après cette étape, un camion a fait le tour pour sensibiliser les populations dans les villages de Motobé et Mondoukou afin d’améliorer la visibilité du site Ramsar de Grand Bassam.
Notons que la Côte d’Ivoire dispose de 105520 ha de zones humides reparties sur 6 sites que sont : le parc national d’Azagny, le complexe humide Sassandra-Dagbego, la zone humide de Fresco, la zone humide des Iles Ehotilés-Essouman, la zone humide de N’ganda-N’ganda et la zone humide de Grand Bassam.
FN
Cette journée a été organisée par la Direction de la Faune et des Ressources Cynégétiques pilotée par le commandant Salimata Koné.
L’objectif de cette manifestation est de faire connaitre l’existence de ce site et les implications liées à son statut international. Cette cérémonie a donc pour but de faire des plaidoyers pour l’utilisation rationnelle du site Ramsar de Grand Bassam.
M Ouegnin Guy Daniel, représentant du maire, a souhaité la bienvenue aux autorités ; avant d’interpeller la population sur la nécessité de la préservation des zones humides. Selon M Zana Ouattara de Palmci, les populations doivent s’engager dans la préservation de la biodiversité.
Selon, M Soro Doplé, Directeur de Cabinet du Ministre des Eaux et Forêts, le site Ramsar de grand Bassam subit des fortes pressions anthropiques : urbanisation (changement de dépressions humides, destruction de mangroves, destruction d’habitat de la faune), exploitation agro-industrielle (destruction de végétation naturelle, usage massif de produits chimiques), menaçant ses réserves en eau douce, sa biodiversité et la survie des espèces dépendantes de ces écosystèmes humides. Il a, en outre, exhorté la population de Grand Bassam à préserver et à sauvegarder les sites Ramsar contre toutes menaces.
Les différentes autorités ont procédé à l’inauguration des panneaux de sensibilisation. Après cette étape, un camion a fait le tour pour sensibiliser les populations dans les villages de Motobé et Mondoukou afin d’améliorer la visibilité du site Ramsar de Grand Bassam.
Notons que la Côte d’Ivoire dispose de 105520 ha de zones humides reparties sur 6 sites que sont : le parc national d’Azagny, le complexe humide Sassandra-Dagbego, la zone humide de Fresco, la zone humide des Iles Ehotilés-Essouman, la zone humide de N’ganda-N’ganda et la zone humide de Grand Bassam.
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