Plusieurs journalistes, infographistes, étudiants en journalisme, directeurs généraux et responsables des medias ont convergé, hier, vers la Maison de la Presse d’Abidjan sise au Plateau pour prendre part à l’opération de don de sang initiée par le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci), en partenariat avec le Centre national de transfusion sanguine (Cnts) d’Abidjan-Treichville.
Responsable de la collecte mobile de cette opération, Dr. Olga Assoukpou du Cnts a indiqué, que l’impression était bonne. «L’impression est bonne dans la mesure où l’estimation était de 150 poches. Nous sommes à mi-parcours de cette opération et nous avons déjà atteint un tiers des poches. Nous sommes à 40, 50 poches alors qu’on n’est même pas encore à 11h. Donc nous pensons que c’est bon. C’est bien parti».
Face à certains refus, elle a fait savoir que ce sont des personnes anémiées qui ne remplissent pas les conditions pour donner du sang. «Pour donner du sang, il faut en avoir soi-même suffisamment. Donc quand on se rend compte que le taux d’hémoglobines est inférieur à la normale, on préfère ne pas prendre de risques. On veut certes du sang, mais pas à n’importe quel prix», a estimé le médecin chargé de superviser l’opération du Gepci.
M.B.
Responsable de la collecte mobile de cette opération, Dr. Olga Assoukpou du Cnts a indiqué, que l’impression était bonne. «L’impression est bonne dans la mesure où l’estimation était de 150 poches. Nous sommes à mi-parcours de cette opération et nous avons déjà atteint un tiers des poches. Nous sommes à 40, 50 poches alors qu’on n’est même pas encore à 11h. Donc nous pensons que c’est bon. C’est bien parti».
Face à certains refus, elle a fait savoir que ce sont des personnes anémiées qui ne remplissent pas les conditions pour donner du sang. «Pour donner du sang, il faut en avoir soi-même suffisamment. Donc quand on se rend compte que le taux d’hémoglobines est inférieur à la normale, on préfère ne pas prendre de risques. On veut certes du sang, mais pas à n’importe quel prix», a estimé le médecin chargé de superviser l’opération du Gepci.
M.B.